Chronos...J'ai songé.. Hier encore
Aux survivances, en un pays ou l'éternité s'ignore
Là claironne le temps, ce miracle comme un cœur battant
Le ciel parfois s'abat sur l'inconnu profane et c'est un mirage blanc.
Vous qui riez.. Dîtes-moi qui nous sommes?
Est-il possible que nous ne soyons que de simples hommes.
Ô chère âme que votre nature est simple et douce
Aux soleils jaillissant de la nuit profonde
Tourbillonnant comme des atomes en feu vers un idéal monde
Je la vois augmenter et se sublimer à la flamme rousse
Il me semble que nous perdons de la gravité
Chaque fois que la matière accède à la spiritualité
Nous devenons un voyage d'ondes lumineuses
Noyées dans les profondeurs célestes et bienheureuses.
Les poètes sont triomphales de toutes les pesanteurs
Même les dieux sont soumis au destin dans les ténèbres lueurs
De partout étreignant l'étendue comme un cri d'amour
Le mouvement pour continuer ce qui est toujours
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