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Sans fleurs ni couronnes.

Echange épistolaire, sans coup de feu, bref mais orageux, entre deux personnes qui se sont aimées et déchirées à belles dents.

Elle :

A Loulou,

Missive incisive,

et canine.

Lui, lapidaire :

Vieille rosse,

A nos noces !

Mots l'air de rien assassins.

P.S. : l'auteur, souffrant de pancréatite aiguë, exprime sa bile.

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Commentaires

  • Merci Sandra.

  • Bonsoir Adyne,

    L'opération se fera vendredi, et, ce qui est tout à fait rassurant, en ambulatoire.

    Je compte donc bien poster, dès dimanche je pense, un nouveau billet, plus jubilatoire.

    Merci et à très bientôt.

    Amitiés,

    Michel

  • Une bouteille à la mer c'est toujours un message d'espoir et de renouveau. Et notre réseau ne se paye pas que de mots, actif, ouvert, solidaire, cordial, vivant, c'est un vrai moteur à idées qui puise son énergie dans l'humain.

    Merci Lili.

  • Bonjour Michel,

    Tous mes encouragements dans cette épreuve et un prompt rétablissement.

    Reviens-nous en pleine forme.

    Amitiés.

    Adyne

  • administrateur partenariats

    Quelques mots, si peu de mots, si concis,

    et un élan, qui grandit.

    C'est la magie et le souvenir d'une certaine "bouteille à la mer" sur Arts et lettres.

  • Splendeur de la fresque sur fond de mots choisis et profonds. Liens forts et amicaux. Tout l'esprit d'Arts et Lettres.

    Déserts et canyons, lire dans un livre de pierre la prière de la terre. Se consoler dans la contemplation.

    Merci Deashelle.

  • Merci Martine pour ce message. Un calcul, une soustraction, bonne opération pour un résultat final positif.

  • administrateur théâtres
    2965999925?profile=original A propos de mots.... La poésie de Patrick Chemin
    Si tu me donnes un mot, j’en ferai une forêt. Tous les arbres contiennent la mémoire du livre que j’écrirai pour toi. Si tu me donnes un mot, je franchirai le vitrail. Toutes les gargouilles contiennent la foi du poème que j’écrirai pour l’incarnation de ton corps. Si tu me donnes un mot, je soufflerai sur le dromadaire de l’imaginaire. Et tu n’auras plus soif. Tous les sables du désert contiennent l’étoile diaprée du silence que j’écrirai pour toi. Si tu me donnes un mot, je pourrai rentrer dans l’atelier de ton âme. Et les toiles accrochées sur la compassion des murs pourront rejoindre la vie extravagante du peintre que je serai pour toi. Car avant les mots, la forêt vivait son roman d’arbres. Car avant les mots, le vitrail était un puits lumineux. Car avant les mots, le dromadaire parlait toutes les langues de l’imaginaire. Car avant l’atelier du peintre, toutes les peintures vivaient dans les lichens, l’argile et les frondaisons. Mais le poème que j’écrirai pour toi est une des naissances de l’univers.

    © Patrick Chemin (2012)
    Extrait de Guisane
    © Photo Cok Friess
  • Bon courage.On sort souvent plus fort des épreuves (petite consolation)
  • Les mots contre les maux de la vie, j'y penserai à Meaux. Merci Deashelle pour ce message.

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