Étendue sur l'allée verte,
le ciel de juin,
par l'orage alourdi,
m'ensemence
des clartés de ce monde,
parfois de vous enténébrées ;
car vous êtes ce secret,
en moi, un peu marine,
enraciné, immense !
L'immensité en soi,
est invisible des autres,
à l'instar d'une noire rose,
aux senteurs paroxystiques,
au sein même de la nuit,
où vogue, vagabonde,
la pleine lune ronde,
sous un voile laiteux ;
sur moi, il neige un peu
de mon enfance,
découverte, toute verte.
Commentaires
De rien Adyne ; belle soirée à toi. Bien amicalement. NINA
Bonjour Nina,
Merci pour ce partage.
Amitiés.
Adyne