L'homme n'arrête pas de parler; il ne peut s'en empêcher. Non content, il pousse le bouchon plus loin: tout ce qu'il n'a pu dire, il l'écrit. Combien d'arbres tuera-t-on encore pour lui ? Je fais partie de ceux-là. J'en ai honte. Combien de mots inutiles proférés, combien de pages sans intérêt publiées ?
Et l'on continue à se poser des questions pour le plaisir d'y répondre. Travaille me dit mon cerveau. Travaille dur au point que le soir venu il ne te restera que la force de t'endormir.
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