J'aurais pu te dire tout ce manque de toi!
Comme le ciel est bleu à travers tes yeux...
Respirer la mer en serrant tes doigts
Caresser ta peau et toucher les cieux...
J'aurais pu bien sûr insister un peu!
Forcer ton désir si prompt à surgir.
Pleurer dans tes bras, susciter tes voeux...
Mais je t'aimais trop pour n'en pas rougir!
J'aurais pu je crois, écouter la voix
Qui criait en moi ce rêve insensé
Et de ton passé ne faire qu'une croix...
Mais j'avais ce tort de bien trop t'aimer!
J'aurai pu, peut-être, vivre à tes côtés
Protéger ton rire, tes moments heureux!
Et mon avenir ne pas boycotter...
Mais j'étais trop fière, excusez du peu!
Tu aurais pu dire que j'étais ta vie!
Que sans mon sourire tu t'étais perdu
Que frôler mon ombre était ton envie...
Serions en amour, si... tu l'avais pu!
J.G.
Commentaires
Chers ami((es)d'A et L.
Il faisait si beau soleil et vous l'avez quitté le temps d'un coucou sur ma page et de vos commentaires si chaleureux... merci, merci... et très belle semaine à tous.
Amicalement
Jacqueline
Bonjour Jacqueline. Ah ! ces silences qui en disent plus long que les mots. Un rêve de plus qui ne peut se réaliser mais qui a cependant pris corps à travers tes mots. Un joli poème Jacqueline, douloureux mais beau. Bonne soirée et à bientôt. Amitiés. Claudine.
Oui le rêve reste si beau! mais fait place à la déception!!.
Merci pour ce beau poème, qui lui, ne déçoit pas.
Bravo.
Bon Week End.
Amicalement.
Adyne
Bonjour Jacqueline et merci poour ce merveilleux poème tout en pudeur sur les mots retenus. S'ils avaient été dits, peut-être auraient-ils pu auraient pu changer le cours d'une vie.
Reste le souvenir devenu rêve. Dieu sait, c'est peut-être mieux ainsi !
Très belle journée à toi. Amitiés. Rolande
Merci Jacqueline pour cet instant de tendresse
Tant de mots ne sont pas dits et tant de vie en pointillé
par pudeur mais le rêve reste si beau
Belle soirée à vous Arlette