Les effets sont pareils venus des mêmes causes,
Agissant sur les êtres autant que sur les choses.
Pour me désennuyer, je me tiens en éveil,
Ravie par les tableaux que brosse le soleil.
Lors d’une intense joie, quand la grâce m’habite,
Je capte les propos qu’une muse me dicte.
Au cours de mes saisons, j’ai tant et tant écrit,
Qu’il me semble, en ce jour, avoir vraiment tout dit.
Dans la tranquillité d’une nouvelle pause,
Libre de tout souci, mon esprit se repose.
C’est le temps du silence, d’un léger abandon.
Mon âme, en harmonie, dans le tout se confond.
26 mai 2007
Commentaires
j'aime beaucoup ce que vous écrivez. Tout paraît tellement vrai dans vos mots. votre muse devait être extraordinaire