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Le genre humain malade du sida

 

Un mal qui répand la terreur,

Aussi puissant qu’une tornade,

Rendant affreusement malade,

Survint soudain pour son malheur.

 

Dans tous les états de la terre,

Eut lieu un grand questionnement;

Il fallait sans retardement,

Élucider ce grand mystère.

 

S’il s’agissait d’un châtiment,

Il existait des responsables,

Gens corrompus et pitoyables.

À neutraliser vitement.

 

On accueillit tous les «on sait»

Et des soupçons injustifiables.

On cibla un groupe coupable,

Certainement, le temps pressait.

 

Ce fut une erreur condamnable.

Il est un constat bien réel:

Partout les besoins sexuels

Causent des torts irréparables.

 

Devraient seuls se sentir minables

Ceux qui perpètrent des délits

Ou qui commettent, dans un lit,

Des abus conjugaux blâmables.

 

15 novembre 2011

 

 

 

 

 

 

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Commentaires

  • Re:  Les besoins sexuels.

    J'ai tenté de dire que sont condamnables seulement les excés sexuels qui causent des torts à autrui. Les autres ne regardent personne.À chacun sesappétits.

  • Je vais essayer d'être claire.Ce n'est pas moi qui considère le sida comme un châtiment.Je me réfère à la fable

     «Les animaux malades de la peste». 

    Il fallait un coupable aux crimes de la terre .On fit de même pour le sida.

     

  • le sida comme châtiment... les besoins sexuels coupables...

    Je vous laisse seule juge et maître de vos opinions, Suzanne, mais vous avez de bien curieux raccourcis... Personnellement, je n'adhère absolument pas au fond de votre bafouille. Et la forme ne sauve rien...

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