☆La porte des étoiles☆
Je ne sais plus très bien,
Comment tout commença!
Juste un trou de serrure,
Bien plus grand qu'un humain
Plus je m'en approchais,
Et plus le vent sifflait,
Je fus comme aspiré
Vers un brouillard épais.
Sur ce chemin ardu,
Fais de briques argentées !
Et ce trou de serrure,
D'un blanc immaculé
Dans un brouillard très dense
Je ne voyais plus mes pieds,
Et soudain je pris peur,
Tout mon corps s'étirait.
Comme en dislocation,
D'une quatrième dimension,
Chaque atome de mon corps
Cherchait son frère raccord,
Éclat d'éternité
Milliards de particules
Du big bang originel
Je devenais l'univers
Tout était démentiel,
J'étais éparpillé...
Jusqu'à ce trou passé !
Où je vois mes atomes,
Se reconstituer,
À la vitesse lumière !
Et le choc est violent,
Du moins, je le ressens !
Comme en accéléré...j'assiste
Au big bang des origines !
Gigantesque explosion
Suivie d'une expansion
Une nanoseconde,
Où se bousculent quarks et hadrons
Et aussitôt protons et neutrons
Enchaînent les réactions nucléaires !
Dans ce chaos, de trois cent mille ans
De rayonnement sur la matière...
Se forment des milliards d'atomes
Qui malaxent l'ère stellaire,
En structures astronomiques !
Galaxies, étoiles, systèmes planétaires,
Se forment devant mes yeux,
Médusés et inquiets !
Treize milliards d'années plus tard,
D'un éclair fulgurant et en apesanteur
Je plane dans l'univers,
La queue d'une comète !
Viens me gratter la tête
Mais quand j'ouvre les yeux !
Je vois la queue de mon chat...
Venu me réveiller, réclamer son assiette.
José Delattre. 15/02/2017.
Juste un trou de serrure,
Bien plus grand qu'un humain
Plus je m'en approchais,
Et plus le vent sifflait,
Je fus comme aspiré
Vers un brouillard épais.
Sur ce chemin ardu,
Fais de briques argentées !
Et ce trou de serrure,
D'un blanc immaculé
Dans un brouillard très dense
Je ne voyais plus mes pieds,
Et soudain je pris peur,
Tout mon corps s'étirait.
Comme en dislocation,
D'une quatrième dimension,
Chaque atome de mon corps
Cherchait son frère raccord,
Éclat d'éternité
Milliards de particules
Du big bang originel
Je devenais l'univers
Tout était démentiel,
J'étais éparpillé...
Jusqu'à ce trou passé !
Où je vois mes atomes,
Se reconstituer,
À la vitesse lumière !
Et le choc est violent,
Du moins, je le ressens !
Comme en accéléré...j'assiste
Au big bang des origines !
Gigantesque explosion
Suivie d'une expansion
Une nanoseconde,
Où se bousculent quarks et hadrons
Et aussitôt protons et neutrons
Enchaînent les réactions nucléaires !
Dans ce chaos, de trois cent mille ans
De rayonnement sur la matière...
Se forment des milliards d'atomes
Qui malaxent l'ère stellaire,
En structures astronomiques !
Galaxies, étoiles, systèmes planétaires,
Se forment devant mes yeux,
Médusés et inquiets !
Treize milliards d'années plus tard,
D'un éclair fulgurant et en apesanteur
Je plane dans l'univers,
La queue d'une comète !
Viens me gratter la tête
Mais quand j'ouvre les yeux !
Je vois la queue de mon chat...
Venu me réveiller, réclamer son assiette.
José Delattre. 15/02/2017.