Propos
Sur la planète où nous vivons, La nature impose ses lois. Elles tendent à créer l'harmonie et à préserver les espèces.
Lors, chacun élit sa chacune, lui ressemblant, bien que moins belle. Un chien n'a certes d'autre choix qu'une chienne pour se satisfaire.
Les hommes sont des mammifères se considérant supérieurs. Leurs concubines se maquillent, s'attifent, éprouvent le besoin de plaire. Comme leur mâle, ce sont des bêtes!
Il découle à l'évidence, de ce que je viens d'affirmer, que si la bête est un cochon, sa belle est assurément une truie.
Je viens d'apprendre, sur la toile, qu'un nouveau livre vient de paraître. Il a pour titre :La belle et la bête.
La bête serait un cochon, donc sa concubine une truie.
En conséquence, moi je pense que ce titre ne convient pas. Je suggère à son auteur de le changer. Il deviendrait : La truie et son compagnon.
Les conteurs de fables prêtaient aux animaux les nombreux travers des humains, sachant qu'ils n'abusaient personne. Nul n'ignore que seuls les hommes, et les femmes, font preuve de cupidité, d'hypocrisie, de jalousie et accueillent la calomnie.
La médisance a souvent des effets fâcheux.
On ne se grandit pas en abaissant les autres, malheureusement on leur nuit.
21 février 2013
Commentaires
Je ne suis pas sûr que la jalousie n'habite pas le règne animal, même si c'est sans doute sous une autre forme.
A part ça, je suis d'accord avec vous dans l'ensemble.
L'auteur du livre est en l'occurrence une auteure qui ne faisant pas dans la dentelle, me semble quand même de n'avoir pour seul discours que de parler de ses dessous affriolants, qu'elle ne porta -selon ses dires- seulement que pour "enquête sur le terrain". Voilà une plaidoirie qui relève pour le moins d'une immense hypocrisie. M'est avis qu'il ne lui restera plus qu'une seule issue: jouer son propre rôle dans un futur film que personne n'attend.
J'ai aussi suivi l'actualité, Suzanne, et je te rejoins entièrement !
Bravo !
Liliane