L'aube chemine,
sur les roses entrouvertes
et l'enfance endormie,
dans une chambre bleue,
où s'agenouille paisible,
le soleil du monde.
L'aube balbutie,
sur le long corps fébrile,
de l'adolescente rêveuse,
dans une clarté rose,
où se penche ébloui,
le ciel du monde.
L'aube décroît,
sur une sente claire,
j'écris, enfin un peu,
tour du monde,
le vrai, l'ultime,
dans ma tête infinie.
Puis sonne Midi,
dans une tiédeur verte,
mon cœur est tout en fête !
Commentaires
Oh merci beaucoup Sandra. Belle soirée à vous. NINA