Quand il n'inspirait plus l'amour,
Une amitié douce et sincère,
Parut insipide à Voltaire.
Il admit cela sans détours.
Prix de consolation, peut-être.
Or, la complicité des coeurs
Entretient constante l'ardeur
Et permet un plaisant bien-être.
Hélas! le corps perd ses attraits
Mais si l'esprit demeure alerte,
Il peut compenser cette perte,
Garder le pouvoir d'attirer.
L'amitié qui nous est offerte,
Au temps de l'amour, ou plus tard,
Par une grâce du hasard,
Me semble une fontaine ouverte.
9/09/2013
Commentaires
Voilà qui coule comme eau vive.
Belle conclusiojn à ce poème sur l'amitié
Merci Suzanne pour ce partage.
Bonne fin de journée.
Amicalement.
Adyne
Et cette amitié nous permet de rester vivant.