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Poème sur la mort, prière amérindienne magnifique, à lire si vous vous sentez mal suite à la perte d'un être cher.
Publié(e) par Dominique Prime le 15 juillet 2012 à 10:27
De l’art d’être malheureux dans « Capitale de la douleur »
Publié(e) par Robert Paul le 25 août 2012 à 11:30
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Commentaires
Je me suis beaucoup intéressé à l'art différencié à propos d'Olivier. J'ai tâché de comprendre les caractéristiques qui président à une série de classements tels que l'art différencié, l'art brut, l'art spontané, l'art outsider, l'art en marge, l'art primitif (dans l'une des acceptions du terme), l'art primal (idem)...
Le point commun, me semble-t-il, est le désir de tout un chacun de s'exprimer. Cela fait du bien de sortir de soi une "vue de l'esprit" en la matérialisant. Oui mais pour en faire quoi? Les extrêmes sont : de la cacher au regard des autres jusqu'à l'imposer par un marketing effréné; de l'autodidactisme (?) jusqu'au déploiement d'une expertise de haut vol; de l'intention de rendre compte du "réel" jusqu'à la volonté de le le transformer voire en faire fi et le massacrer; de la pudeur des sentiments et des techniques jusqu'aux aux montages installatoires arrogants, etc.
Tout ceci pour tenter de montrer la relativité de ce qu'on appelle "art différencié", sujet du colloque de Charleroi. Il est question, dans la présentation ci-dessus, de créateurs handicapés mentaux ou hors normes.
Handicapés mentaux? Oui, on voit, ils sont repérables à des degrés divers, de manière différenciée... Soit ! Les "hors normes" : fichtre, mais quelles normes? Il faudrait vingt lignes pour commencer à aborder le sujet de la norme. Disons seulement que tous les grands artistes, j'entends les novateurs, sont et ont été forcément hors normes...
Il ne faudrait pas non plus croire que tout ce qui est diff'érent est digne d'intérêt. L'art-thérapie aide à s'exprimer, c'est sûr. Mais nous sortons du sujet : l'art y est considéré comme un moyen d'aider la personne (pas nécessairement handicapée) à accoucher d'elle-même, à se prouver qu'elle est capable de...etc, avec l'aide d'un spécialisée dans ce genre d'accompagnement.
Il y aurait encore mille remarques à formuler. Je pense qu'en art (et, plus généralemnt à tout ce qui ressortit de l'humain), il ne convient ni de ghettoïser par souci d'analyse qui risque le cloisonnement , ni de tout égaliser dans le souci d'une vision globalisante et angélique où tout serait égal à tout.
Je me demande si je vais aller à Charleroi !