Inséparablement liés,
En dépit des métamorphoses.
Or quand de vains regrets s’imposent
A-t-on le vouloir d’oublier?
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Elle est sensible, pétillante,
Aimant sa propre compagnie,
Mais la vue de son corps l’ennuie.
Passif, il demeure en attente.
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Il semblait danser en marchant,
Quand il était léger comme elle.
Elle évoque la demoiselle,
Qui rendait joyeux les passants.
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Sans un persistant goût de plaire,
Son âme et son corps, il se peut,
Resteraient complices tous deux,
Aussi assortis que naguère.
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21 septembre 2010
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