J’ai cherché à te revoir,
sur les chemins de mon esprit.
Sur les collines, tes habits de nuit
survivent en moi.
Ma parole contre la tienne,
et nos mains qui dessinent notre parole en devenir.
Tournant dans ma tête,
cette musique qui nous rapproche
Au pied du chêne,
planté là-bas, là où la pente du sentier le contourne.
C’est une ode à ton nom.
Une belle danse en deux mouvements.
Julien Boulier le 27 avril 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3437337011
Commentaires
Seule la nuance fiance le beau au vrai