La côte sauvage confectionne sur ses épaules
d’ innombrables foulards de couleurs.
Belles envolées. Des journées en équilibre
sur ses lignes élancées, ses courbes suspendues.
Cette sensation de danser et de voler un peu avec elle.
Le très vieil arbre et ses jeunes pousses,
les anciennes forêts où l’on retourne s’abriter,
où l’on sort de l’ombre dans des clairières parsemées.
Rien que les rochers appuyés sur les dunes
et les bancs de sable.
Les brumes. Les soleils du matin.
Le vent et la musique des silencieuses étendues.
Julien Boulier le 25 février 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3435136411
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