Une autre journée glorieuse,
J'accueille des pensées rieuses.
Inactive, je me sens bien,
Je ne me soucie plus de rien.
Pour apprivoiser le bonheur,
Qui se trouve souvent ailleurs,
Il ne suffit pas d'un grand zèle,
Il faudrait que l'on aie des ailes.
De ton corps, ayant pris congé,
Ne redoutant aucun danger,
En ce temps de grâces nouvelles,
Vogue mon âme virtuelle.
Sensible, toujours en éveil,
Captant l'énergie du soleil,
Traverse des espaces immenses,
En t'arrêtant là où l'on danse.
1/02/2004
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