Ma tête, lorsque j'écris, est un drôle de jardin !
Mon corps est cette eau nourricière,
qui le fait vivre et même grandir, s'élargir.
Une mère.
Mes mains ne font juste qu'obéir ;
je reçois, pour partager ensuite.
Ecrire, c'est respirer plus large.
NINA
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