Je sens sur moi tes doigts puis soudain tes lèvres
Je ne peux me contenir, ta beauté me fais avouer
Tout ces vieux souvenirs qui en moi étaient noués.
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L'air sonne en musique, le vent fait jouer les notes
L'ambiance devient magique et l'on oublie toutes nos fautes.
On troque notre détresse et nos espoirs non comblés
Contre un fleuve de tendresse si grand qu'il fait trembler.
Nos âmes enfin réunies me font revivre la couleur
Qui par le temps était ternie et par l'amour et la douleur.
Le calme qu'apporte tes yeux m'emplis de joie et me réconforte
Alors je me crois Dieu, qui maîtrise tout jusqu'à ta porte.
Mais tu n'existes pas, tu n'es qu'illusion
Qui ne vit qu'en moi, dans mon imagination
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