Sur les rives du Saint-Laurent,
D'immenses parcs, resplendissants,
Offrent des sièges et des tables,
Dans un décor inégalable.
Les localités prennent soin
D'aménager chaque recoin,
Pour rendre agréable une pause.
On explore et l'on se repose.
Si l'on arrive près d'un banc,
Faisant face au fleuve brillant,
Grisé par la lumière vive,
L'âme s'en va à la dérive.
On y contemple un nom gravé,
En souvenir d'un être aimé
Et une phrase de tendresse.
Ô sublime délicatesse.
Les cimetières me semblent austères
Ont pour moi un goût de poussière.
Lors je fais le souhait fervent.
D'avoir, là, mon nom, sur un banc.
03/9/2013
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