Propos
« Qui aime bien, châtie bien! » me semble être une vérité. On a vu de tendres enfants devenir vraiment décevants, leurs parents les ayant gâtés.
Enfin adulte, chacun décide ce qu'il veut. Selon les cas, il est plus ou moins permissif envers les siens ou bien lui-même.
Sa liberté n'est pas complète, il doit se conformer aux lois. En outre, la société, en certains lieux, impose une morale rigoureuse. Dans les pays civilisés, elle se montre libérale et ne se mêle plus de rien, elle se fie au Droit pénal.
On accueille la liberté, débarrassé des préjugés, et en ignorant les scrupules, on sert ses envies avant tout.
Présentement, l'individu est concerné par son bonheur, celui des siens est secondaire.
Il fait souffrir sans le vouloir mais bien souvent sans compassion. La tendresse lui semble insipide, il a besoin de coups de coeurs.
Il ne construit rien de durable, n'améliore pas, démolit.
Les erreurs ne l'instruisent guère. La sagesse n'arrive que tard.
Finalement la solitude, et les regrets, sont le lot de ceux qui ont fait, d'une permissivité perverse, un privilège dans leur vie.
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