Je suis déchiré, je veux et ne veux pas et sur ce, je vous ai déchirée !
La feuille de papier semble déchirée, vous êtes trop adorable, je n’imaginerais même pas vous froisser !
Vous dessinez, je le veux, vous peindre, je le veux aussi et vous rêvez, c’est fait. Aucun cauchemar n’est fait pour ces hésitations mais un simple conflit intérieur. Vous respirez la fraîcheur, c’est mieux que la douceur !
Mes traits de crayons n’étaient pas assez caressants, je les veux même affleurants !
Mes dessins se voudront par moment, lunaires, votre couleur chair sera ainsi !
Aucune vision n’est faite où vous êtes réelle ; enfin comme je vous ai vue pour la première fois, je vous découvre autrement !
Vous semblez irréelle, n’est ce pas préférable d’être, mythique?
Mes peintures se voudront donc par moment, sélénites.
Mes rêves vous voient de cette façon et comme ce sont eux que je pose sur la toile ou le papier, Nana, vous vous verrez souvent, ainsi !
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