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Critique des "Sous-Teckels" par Lucius von Lucius

12273050285?profile=originalSan Antonio les appelait "les cons"

Brassens les appelait "les cons"

Cavanna les appelait "les cons"

Virginie Vanos va plus loin ! Et puis, faut reconnaître qu'elle ne fait jamais rien comme tout le monde.

Elle les appelle "les sous-teckels".

Vous savez, tous ces gens préformatés, dont le seul objectif, dans votre existence, est de vous pourrir la vie...

Personnellement, j'ai la chance de n'en avoir jamais rencontré. Enfin, si, une, mais ce serait trop long à vous expliquer. Et puis un autre, j'avais oublié... et puis...

Euh, pardon, je m'égare.

Virginie avait le choix des armes : soit la méthode gentleman (Messieurs les Anglais, tirez les premiers), soit la méthode Schwarzeneger (J'vais te péter la gueule ! Ah non, ça c'est Rocky, désolé).

Elle a choisi la deuxième voie.

Vous l'avez compris, ça canarde à tout va dans ce bouquin. On ne fait pas dans la dentelle (si vous êtes en manque, abonnez-vous à Point de Croix Magazine).

Ça frise parfois la mauvaise foi. Souvent, même. Ce sera jouissif pour les uns, horripilant pour les autres, mais ne vous laissera pas indifférents.

Je sens maintenant la question qui vous taraude affleurer sur vos lèvres, prête à jaillir : Virginie Vanos nous donne-t-elle la solution  pour se débarrasser de ces sous-teckels ?

Vous croyez que je vais vendre la mèche ?

Tsss tss...

http://www.edilivre.com/les-sous-teckels-virginie-vanos.html#.VDEUpMnIeRU

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