À huit ans, Jean-Clause, à l’école,
N’avait pas rendu coup pour coup
Et cela avait semblé drôle
Aux témoins qui riaient beaucoup.
On lui avait dit, qu’en colère,
On peut causer un bien grand tort;
Hélas! il n’y a rien à faire
Quand un geste entraîne la mort.
N’étant pas sûr de son contrôle,
Que l’on soit ou non le plus fort,
Il vaut mieux se battre en paroles
Et ne pas défier le sort.
Coups de griffes pour coups de dents,
On triomphera, on l’espère.
Attaqué, on devient méchant,
On crie à l’aide et c’est la guerre!
19 avril 2007
Commentaires