Vous êtes et demeurez dans mon existence, l'homme que j'aime, celui dont l'entier mystère me fascine, me touche ; jamais je ne cesserais de vous faire la cour, de vous offrir de somptueux bouquets d'écriture !
Cette crainte persistante en moi, de vous perdre, et bien pire encore, que vous perdiez la mémoire de moi, me quitte rarement ; alors mon vrai visage n'existera plus, mes mots orphelins devenus.
L’obscurité lourde et mutique, recouvrira notre ile bleue, l'endeuillera.
Savez-vous que j'aime vous faire rire, que la femme est un esprit sans fond, infini ?!.
Oui, je pense que la femme est et restera, la promesse de l'homme meilleur, sa continuité et sa croissance ; elle en est la racine, puis la fleur et son parfum tout à la fois.
C'est l’œuvre de toute sa vie, sans omettre bien sûr la connaissance.
J'aime la part féminine chez l'homme, murmurante ; sur lui elle apparaît tel un originel bijou !
La femme, conjugue admirablement bien, la grâce, la combativité et l'humour ; magicienne depuis toujours.
Voilà, mon Cher Paul, ce qui me tenait à cœur aujourd'hui de vous écrire.
Bien à vous.
Virginie.
Commentaires
Vos commentaires me touchent, me font plaisir ; je vous souhaite un excellent week-end à toutes les deux (Liliane et Adyne). Bien amicalement. NINA/VIRGINIE
Il en a de la chance ce Paul, Virginie lui aura offert une superbe déclaration d'amour...
Vos écrits sont de très beaux bouquets, Virginie !
Quelle belle déclaration!
Bravo Nina.
Bonne fin de semaine.
Amicalement.
Adyne