Sur notre aventureuse route, la Nuisance,
Agit soudain, plus cruelle que la malchance.
Nulle part, nul ne peut toujours se protéger
Des invisibles pièges d'où surgit le danger.
Après un rude choc, le corps est sans ressort,
Aussi s'il a reçu un venin qui le mord.
Or quand une énergie, longtemps le martyrise,
C'est l'être tout entier qui endure une crise.
Je dois me recoucher, trouver la bonne place,
Y rester sans bouger, dans un instant de grâce.
Je sais que la torture reprendrait vitement
Si je me permettais d'oser imprudemment.
Je n'envisage pas d'aller à l'hôpital;
J'ai des côtes fêlées cela n'est pas fatal.
Ne sais combien de temps, je serai en souffrance.
Certes, à chacun son tour d'héberger la nuisance.
01/ 06/ 2015
Commentaires
Bonjour Suzanne,
Je vous souhaite un prompt rétablissement, pour être passée par là, je comprends très bien vos douleurs!!!
Très affectueusement.
Adyne
La volonté de vous redresser après un repos fructueux enverra le souvenir de cette mésaventure dans les oubliettes, Jacqueline
Nous sommes de tout coeur avec vous, chère Suzanne.
Patience et courage, et venez vous distraire avec nous.
Que mon arbre de Vie rayonne et vous donne de la force.