En attendant
de revoir ce ruisseau,
de passer le gué
par le pas du japonais.
Quelques mots
flottent au vent.
Les idées, à l’improviste,
courent se cacher dans les arbres
puis sortent de leur chrysalide.
Musique et espace.
Gravité et apesanteur.
Les racines vers le sol
Et les branches vers le ciel.
Julien Boulier le 27 février 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3435251811
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