Enfant, déjà curieux, je découvrais Prévert
Et cette liberté qu'il mettait dans ses vers...
Et si de son récit le discours nous surprend
Et que l'on imagine cet oiseau qui descend
Jouer avec celui qui l'appelle de ses cris!
On sait bien que ce n'est qu'un instant de sa vie!
Mais toujours cet enfant se souviendra de lui...
Et de cette lumière qui survient et s'enfuit!
Je me rappelle encore de ce jour peint en bleu
Où rien, non rien vraiment n'aurait pu être mieux!
Et dans le temps qui s'enfuit, cet instant béni
Et que l'on croit pouvoir garder à l'infini!
Adulte, presque vieux, je proclame l'impuissance
De cette liberté prônée jusqu'à l'outrance!
Je rêve d'un instant, flamboyant, comme avant!
Mais à l'horizon, le soleil déjà descend...
Commentaires
12, 12, 12, 13, 13, 12 12, 13, 12, 12, 12 12, 14, 13, 12, 12 syllabes par lignes . Les alexandrins ne demandent que 12 syllabes .Vert et vers ce prononcent ère, mais sont de fausses rimes. cris et vie, lui et ..fuit, .leu et yeux, et, ..ant et ....end ne sont pas des rimes (heureuses) correctes.
Par contre l'idée du fond me séduit assurément. Vous savoir marquée par Prevert comme au fer rouge. Indélébile. Encore pardon d'avoir osé "corriger", mais vous nous demandez ... Je suppose, ... La vérité?
Et pas d' d'hypocrites flatteries.
...Encore pour longtemps,
Même si je n'ai plus mes vingt ans...
Nostalgie palpable sur un rythme à la Prévert ...Bonne continuation,soyez heureuse ,la passion qui vous anime est un privilège que vous nous faîtes partager .