Au quinze de la rue vit une poétesse,
Au quinze de la rue vit une inconnue.
Elle s’endort, dans la vallée de la lune,
Et s’éveille, dans la vallée de la Mort.
Elle vole, entre les roches des dunes,
Elle glisse, devient un puissant cador.
Rêves griffés, dans les nuits de violences,
Rêves bercés, des nuits de félicités,
Elle plonge, découvre l’ambivalence,
Elle effleure, s’éloigne de l’ambigüité.
Monde proche du mont Olympe enflammé,
Monde étranger couvert de poussières d’or,
Elle glane des moments de bonheurs parfumés,
Elle étale des fleurs écloses en thermidor.
Au quinze de la rue vit une amazone,
Au quinze de la rue, dans la jungle perdue.
Claudine QUERTINMONT D’ANDERLUES.
Commentaires
Bonjour Jean-Yves.
Merci de t'être arrêté chez moi et d'avoir laissé une appréciation.
Je te souhaite un très bon dimanche. Amitiés, Claudine.
Poésie et Rêverie sont au RdV
Merci pour ce partage
Jean-Yves
Bonjour Josette.
Merci pour ton commentaire et bon WE.
Claudine.
très beau texte Claudine. Merci pour ton partage.
Amitiés
Josette
Bonjour Nicole.
Insaisissables créatures de nos rêves qui nous transportent dans des ailleurs irréels. Il n'y a plus qu'à fermer les yeux pour les écrire, les décrire et les lire.
Bon WE chère Nicole et à bientôt. Amicalement, Claudine.
Bonjour Claudine,
Merci du partage de tes lignes ! J'en ai apprécié l'ambiance évanescente ... mystérieuse ...
Douce fin de semaine à toi ! Amitiés, Nicole
Bonjour Martine et merci pour ce gentil commentaire.
Amicalement, Claudine
Bonjour Adyne
Les rêves les plus beaux sont ceux qui laissent une traîne couverte de bonheurs.
Amitiés, Claudine.
Très beau poème issu d'un rêve! Merci Claudine pour ce partage.
Bonne fin de semaine
Amitiés.
Adyne