Quand seulette, j’écris pour capter un instant,
Les mots, en s’assemblant d’eux-mêmes, me surprennent.
Ma mémoire, en éveil, les a chosis sans peine.
Ils deviennent tableaux ou murmures chantants.
Les mots, en s’assemblant d’eux-mêmes, me surprennent.
Engendrent, quelquefois, un fabuleux élan.
Ils deviennent tableaux ou murmures chantants.
Je me sens habitée par une joie sereine.
Engendrent, quelquefois, un fabuleux élan.
Plongée dans l’harmonie naturelle, si saine,
Je me sens habitée par une joie sereine.
Mes vers, en liberté, s’en vont au gré du vent.
Plongée dans l’harmonie naturelle, si saine,
Je savoure, ravie, des plaisirs émouvants.
Mes vers, en liberté s’en vont au gré du vent.
Je les sais recueillis sur des rives lointaines.
9 juillet 2011
Commentaires
En lisant à voix haute cette poésie chantante, je sens le vent danser ...
Merci de ce partage sur Arts et Lettres ! Beau dimanche et amitiés, Nicole V.Duvivier