Il y a longtemps,
de tous côtés
s’étendaient des paysages
à perte de vue.
De ce temps-là subsistent
les heures qui s’enfuient.
Aujourd’hui et demain,
une forêt enfouie,
l’attente et l’espérance.
Toujours enfant dans la tête,
et une pensée
pour les sirènes aquatiques,
une rumeur arborescente.
Julien Boulier le 17 avril 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3437014111
Commentaires
Une rumeur qui gronde
il y a longtemps
le berceau de la Terre- mère
cernée d'un voile bleu éthéré
miroir de mirages
le sable d'or fin
les parapluies en cerfs volants
les galets en poissons d'argent
mais que reste- t-il maintenant
de ce joyau d'antan?