L'hiver dans ma tête me dessine un été,
une tempête dans mon corps, fait éclore l'ondée bleue,
l'absence de vous, m'apporte des mots féconds,
l'ombre en plein soleil, expire sous ma plume,
mon cœur ensanglanté cicatrise, dès lors que j'espère,
les larmes sur mon visage se diamantent à l'approche de vous,
ma peau sous mon pull blanc, contre vous s'incendie,
nos yeux pensifs et chauds, s'étreignent en pleine foule,
nous existons ainsi.
NINA
Commentaires