Amour épistolaire, si difficile sur terre,
insatiables et déchirants, persistent mes baisers,
Flirt du papier avec l’encre empourprée,
jusqu’à l’aube sonnée !
ma lampe bleue pourra en témoigner ;
ma complice, mon feu, dans la nuit froide et marine.
J’ai le cœur qui tangue,
à force de trop d’absence, de mots rêvés, jamais reçus ;
Pourtant, mon invisible bouche
sur votre cœur glisse, s’inscrit, s’impose !
Ainsi en ai-je décidé.
Puis, mes lèvres assassines,
car vous ne m’aimez point,
le butinent, le piquent, l’avalent dans son entièreté.
Cupidon est passé !
Ecrin pourpre, de vous, mon corps est devenu, palpitant,
posé sur un drap blanc immuablement.
Commentaires
Oh Rosyline, ce que tu viens d'écrire est magnifique, infiniment touchant, très beau !
Un merci de tout mon cœur.
Belle soirée à toi.
Amicalement;
Oh de rien Nicole. Belle journée à toi.
Percutantes et lignes passionnelles ! Douleur ...rage... désespoir ... superbement exprimé !
Merci du partage , Nina ! Amitié, Nicole
a
Ah quel bonheur d'avoir, de recevoir de tes nouvelles mon grand ! Pour le compliment, que je sais sincère, je te remercie infiniment. Je t'embrasse
Ton amie Dominique/Nina
Splendide, déchirant, incandescent ... Merveilleux, comme toujours ... !
Oh je préfère rester modeste mais merci infiniment Josette : bien amicalement.
Bonjour Nina, vos écrits sont toujours excellents