Ma patrie, c’est mon corps
Mon corps
C’est ma seule patrie
Ma douleur c’est mon corps
Elle me dévore et j’en mourrai
Sous vos yeux
Se tord mon corps
Indifférent à l’or
Je ne connais
Pas l’indulgence du confort
Seulement l’indigence
Qui a horreur de la pitié
C’est décidé je quitte les lieux
Je laisse à tous
Le souvenir de mon corps
Remplit d’or
Je m’éloigne
Adieu !
Lionel M.
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