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Restauration du Beffroi en l'An 1754   

 

En cette année, les Thudiniens furent les témoins émerveillements ou craintifs de bien dangereux travaux. Le Beffroi dont la construction avait été menée bon train 116 ans plus tôt, avec de faibles finances, exigeait d'urgentes réparations le long de ses parois abruptes. De tel travaux, on le sais, présentent bien plus de danger  qu'une construction neuve dont les échafaudages sont intérieurs. Ils sont d'ailleurs uniques dans notre histoire. C'est J.B Chermanne architectes déjà connu, qui prit la directions des travaux exécutées en régie. Il était originaire d'Hanzinne, en Entre-Sambre et Meuse et avait épousé une Thudinienne Marie-Jeanne Fagot dont il eu 9 enfants tous né à Thuin. Les travaux commencèrent à la fin de l'hiver en février ou mars 1754, par des saignées dans la maçonnerie. Pour ces deux mois, le Receveur du magistrat paie a Hilaire et Sims.on Gustin chacun 34 journée a faire des trous a la tour. Antoine Durdu, paveur officiel de la ville, recevra une somme de 30 florins a compte des boutisses et des pavés qu'il a trié pour le clocher. En terme de maçonneries, ne laissent paraître au dehors que leur chant, le "bout" . Le nombre de pavés et boutisses tiré par Durdu dans le grés des carrières Thudiniennes pour le beffroi est quasiment incroyable huit mois  plus tard, quand il remettra au receveur son compte définitif il aura fourni pour travaux communaux 30.000 pavés, 3000 boutisse .

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