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Publications de Gohy Adyne (80)

Trier par

A la Pointe de Pen-Hir

d'Adyne Gohy

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a été inspirée par 

Haïkus de la mer

de Raymond Martin

  

Au long des golfes

Ventres affamés voltigent

Houle endiablée

 

Récifs acérés

Guillemots craintifs en habit

Cormorans émancipés

 

Des mâts esquissés

L'horizon enchevêtré

Fin brouillard salé

 

La mer toujours niée

Clémente bienveillante

Mystérieuse dort

 

Noir bleuté noir d'encre

Ebène des flots géants

Dans un port apaisé

 

Marée montante

Marée descendante

Mer rigoureuse déferlante

 

Tir Na N-og oubliée

Ys la belle somnole

Vagues d'écume

Un partenariat
Arts
 
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Lettres

 

 

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L'été des indiens

Une aquarelle

d'Adyne Gohy

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Inspirée d'une poésie

de Sandra Dulier

L'été indien

L'été indien

installe sa douceur

sous le parasol

des arbres ornés,

eaux et parures 

aux chevelures

en lentes fanées.

Vert de ciel

métamorphose

le pourpre et l'or

en ramure et cime

d'une saison pointillée,

touches du peintre

Aux doigts safranés.

Une feuille glisse

en bruissement 

sur la dalle

du jardin clos

et le sablier emporte

le reste d'écume

d'un soleil rose.

L'été indien

nous  invite

à la rêverie

et à l'Art de Vie.

Un partenariat
Arts
 
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Lettres

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Un partenariat exceptionnel incluant cinq membres d'Arts et Lettres

 

A Camaret

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Une photo de Raymond Martin

a inspiré

 Tout a une fin

une aquarelle d'Adyne Gohy

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Avec un commentaire poétique

 de Liliane Magotte

Pauvre bateau, vaillamment sans perdre courage.

tu as fendu les flots, vaincu les orages.

Tes couleurs sont fanées, et sur ton bastingage,

la lassitude est là, qui trahit ton âge.

Une aquarelliste, éprise de ton ramage

de ses pinceaux dessine un calme paysage.

Il raconte l'âme de tes voyages,

le chant des sirènes sur de lointains rivages.

L'aquarelle a inspiré 

Le poème

Sous l'écume du temps

de Sandra Dulier

Il en aurait à raconter,

ce vieux rafiot tout rouillé,

de ce temps de mer

où il était force et fier,

de ses tempêtes essuyées

en lointaines marées.

Il aurait à espérer

des retours de sel caréné,

mais seule l'île déserte d'un port

sera son dernier fort.

Il gît, à moitié démâté,

héroïque anonyme oublié.

Seul son ancien capitaine

vient se remémorer la sirène

de ses souvenirs enfouis

de toute cette houle de vie

et, sous la croix du marin,

il marche en pélerin.

Certains amis sont morts

non lion de ce port

dans un bateau

jeune et beau

qui n'a pu résister 

aux vagues brisées.

Il en aurait à raconter

ce vieux rafiot tout rouillé

de ce temps de mer

où il était force et fier.....

En concordance avec l'aquarelle

 

Un vieux bateau

de Gilbert Czuly Msczanowski

Il est fatigué contre le courant

Ce vieux et fier bateau, même si pourtant

A force de courage avec le temps

Il a gagné savoir et entraînement.

C'est toujours un même recommencement : 

Hisser la voile et puis prendre le vent,

Virer  sans chavirer en accélérant,

Affronter creux et vagues vaillamment.

Le vent ne cesse. La voile lentement

Se déchire sous les assauts violents;

Vaincue, elle ne claque plus fièrement,

Ainsi fanée de tant d'acharnements.

Le géant des mers a perdu son aile,

Il ne peut maintenant glisser sans elle

Une pluie douce vient de l'horizon :

C'est qu'il n'y a plus de larmes sans raison.

et inspiré par sa photo

Mémoire

de  Raymond Martin

Il a navigué parcourant les mers salées

A l'affût des cabillauds et harengs pourchassés

Du cap sud au cap nord harassé

Par 49 Beaufort toujours fier face aux vents déchaînés

Il quitta Morlaix pour ailleurs ou Terre-Neuve

traversa les épreuves mais rigide dans les manoeuvres

jusqu'au dernier soupir à sa dernière épreuve

Là maintenant amarré au quartier du repos éternel d'un coin de Camaret

Sous le regard ému des amoureux des choses de la mer

Cherchant le dernier son grinçant de son étrave dépitée

Mémoire, mémoire, ancrée aux gouttes de la mer.

 

Un partenariat
Arts
 
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Lettres

 

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La rive aux grands arbres

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Une photo de Suzanne Walther-Siksou

a inspiré

Au Parc Gouin à Montréal

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Une aquarelle d'Adyne Gohy

La rive aux grands arbres

Poème de Suzanne Walther-Siksou

inspiré de l'aquarelle d'Adyne Gohy

Le fleuve aux reflets lumineux

Dans un impressionnant décor.

Sont exposées des masses d'or,

De grands arbres mystérieux.

L'émoi ressenti est immense

Face à la suprême beauté,

Au repos qu'offre le silence.

Ineffable félicité!

Dans la douce magnificence,

Berçant son âme romantique,

Recourant à la transcendance,

Un peintre crée l'image unique.

Arbres de la rive dormante,

Superbe, emplie de poésie

Une aquarelle éblouissante

Aux couleurs de sa fantaisie.

Un partenariat d'

Arts 
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Lettres

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L'île de Sein

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Inspirée d' une photo de Raymond Martin

Sur L'île de Sein

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Une aquarelle d'Adyne Gohy

En concordance avec une poésie

de Raymond Martin

Suite en Ré des Pics

Peindre avec le verbe, l'encre est vigoureuse,

 Page froissée, feuille jaunie aux lignes raturées,

Plume d'espoirs inassouvis au sein de la strophe rêveuse,

Accrochée à la rime embaumée d'un éternel été.

 

Le frêle esquif, attentif à l'anneau amarré,

 Frémit dans l'espoir d'une aventure prochaine.

Froide rectitude du recteur de l'Ile de Sein désœuvré,

 Troublé et incertain, face à l'appel de la sirène.

 

Ré, Sein, quels sont les mots pour décrire à souhait ces perles,

 Océaniques aux beautés profondes, désirées et antiques,

Raides face au vent vengeur et à l'onde qui déferle,

Telle une armée puissante au glaive machiavélique.

 

 

Ré, note de musique lignée à la portée d'un Do,

Résonance de l'accord mineur du clavier de la mer,

Sein, habitée de korrigans, ludiques lutins protecteurs des bateaux,

Seins, exaltés aux caresses amoureuses des baisers volontaires.

 

Pics élevés en harmoniques, de l'Armorique émeraude,

Silence de la mer calmée, jeux des guifettes grivoises,

Sur les rochers acérés que le sel érode.

Et le souffle divin, envoûtant, s'étendit sur la mer d'Iroise.

Partenariat Arts 
12272797098?profile=originalLettres

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La Côte d'Opale

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d'Adyne Gohy

Inspirée du poème de Gil Def

Je t'offre mon Nord

      En bleu, en vert en sang et or

      Veux-tu connaître mon pays?

      C'est au nord, tout en haut, ici

         

      Je sais, on dit qu'au nord le ciel est gris

       Que le plat pays se perd sous la pluie

       Que les canaux se meurent d'ennui

      Mais vois comme la plaine tremble le blé

      Quand le vent mûrit au sud en été

      Viens chez moi, mon pays va chanter

      Je sais, on dit qu'au nord c'est noir charbon

      Zola a pleuré la misère dans les corons

Germinal a écrit et filmé les gueules noires

Mais viens voir les terrils changer leur histoire

En sang et or des ailes à Lens y décollent

Ecoute Renaud rimer des drôles de paroles

Je sais, on dit qu'au nord c'est le brouillard

Qui noie les marais et les quais de gare

Et cache souvent le côtes d'Angleterre

On prend le tunnel si tu as le mal de mer

Mais, je préfère un car)ferry par temps clair

On part de Calais on part en croisière

Je sais, on dit aussi que la mer du Nord

En tempête hurle dans le détroit trop fort

Pourtant tu sais le vent est un vrai trésor

Fait rire les enfants avec les cerfs volants

Regarde voguer toutes les voiles du présent

Et tourner les ailes d'un nouveau temps

Je sais aussi que le nord n'a pas de montagnes

Mon horizon t'offre la mer et la campagne

De beaux clochers en mâts de cocagne

Et les Deux-Caps qui respirent le grand air

Sur des sentiers qui parlent en bleu en vert

Et retrouvent l'amitié avec des fruits de mer

Je sais, on dit qu'au nord les villes figent le temps

Un passé trop lourd pèse sur le présent

Tu sais les vieilles pierres sont la fierté des gens

Les citadelles ont résisté à tant de tourments

Le nord est bien vivant et Boulogne te surprend

Avec un cheval blanc et les trésors des océans

Je sais, on dit que les routes vont en enfer

Sur des pavés qui reviennent d'avant-guerre

Entre Paris et Roubaix on ira une année

Toucher la légende qui voit des forçats pleurer

On applaudira ces champions qui en plein effort

Au carrefour de l'arbre veulent triompher du sort

Veux-tu connaître mon pays?

C'est mon nord, tout en haut, ici

Je sais, on dit que les gens du nord

N'ont pas souvent le soleil dehors

Mais ils l'ont toujours dans le coeur

Et le public rappel le chanteur

Sens tu tous ces parfums de fleurs

De ces jardins qui ont semé le bonheur

Je sais, on dit que les filles sont plus jolies

Sous les caresses du soleil du midi

Mais au pays toutes les filles au printemps

Sourient comme Isabelle au prince charmant

Elles sont si belles un samedi pour se marier

En dentelle de Calais, je veux te voir danser

Je sais, on dit qu'au nord les années sont grises

Et que le dur labeur n'aime pas les surprises

J'ai déjà mis des croix sur notre calendrier

Des 14 juillet plusieurs fois dans l'année

Une plage de sable fin des moules frites en été

Une braderie des manèges une ducasse en juin

D'autres dates viendront écrire nos demains

Je sais, on dit qu'au nord le rire n'est pas roi

Surtout en hiver avec le vent noroit

Alors au carnaval chez Jean Bart tu seras avec moi

Dans le chahut je t'assure tu n'auras pas froid

La bière coulera en patois tu ne comprendras pas

Dans la bande ti riras et personne ne te reconnaîtra

Je sais, on dit qu'au nord la fête est triste

Depuis que le grand Jacques à quitté la piste

Et aussi Raoul après leur dernier salut d'artiste

Mais le pays des géants invite l'accordéoniste

A respirer encore et plus fort encore

Sur toutes les musiques sur tous les accords

Viens vite, je t'invite dans mon nord

Je garderai pour toi tous ces trésors

En bleu, en vert, en sang et or

Je t'attends dans mon nord

Je t'offrira mon nord

Tout là haut, chez moi

Tout en joie, pour toi

Pour toi

Gil Def

Un partenariat
Arts
 
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Lettres

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 Le printemps est annoncé

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d'ADYNE GOHY

en concordance avec

Le printemps déjà là

Cerisiers en fleurs avant l'heure,

un bijou blanc dans un jardin,

sous le léger châle de l'hiver encore,

devenu impuissant,

tout en haut, une tenture toute bleue, lisse,

printemps trop tôt tombé du ciel,

mars sans la pluie;

déboutonnage d'un blanc corsage,

dentelle grège, chaude neige;

nuage végétal, trouble!

lèvres rouges ébahies,

s'égaie l'arborescence embaumée et pastelle;

blanche comme neige, tourterelle!

Cerisiers en fleurs, avant l'heure,

un bijou blanc dans un chemin,

sous le léger châle de l'hiver encore,

devenu impuissant,

tout en haut, une tenture toute bleue, lisse,

nos mots orangés, audacieux,

parfum citron,

senteur de limonade dans l'air,

baptême au dessus de la terre,

sans pluie, sans bruit;

ensoleillement inouï et bleu!

de NINA

Les partenariats d'

Arts12272797098?profile=originalLettres

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Les Lorrains à l'honneur du 1er mars au 9 mars

Trois membres d'Arts et Lettres exposent à Cormontreuil

Françoise Buisson, Christine Mathis et Claude Carretta.

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Les discours et la présence de Roland Palmaerts

Champion du monde de l'aquarelle

au

Guinness

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Françoise Buisson

Christine Mathis

12272998097?profile=original12272998483?profile=originalClaude Carretta

Ce fut un grand plaisir d'assister à cet événement

parfaitement mis au point par Claude Carretta.

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Promenade au bord de la Hoegne

 

 

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Adyne Gohy

 

 

Forestière

 

Bruissement d'une rivière,

Au bord d'une clairière,

Miroir perlé,

Coeur de rosée...

 

La brume du matin

A déposé, cristallin,

La sérénité sous les pas

De deux promeneurs béats.

 

Devant tant de beauté réunie,

L'automne est magie.

Crissement des feuilles

Se tapit le chevreuil.

 

De longs souvenirs d'enfance

Me reviennent et balancent

Leurs feuilles en voltige

Sur quelques brins de nostalgie.

 

 Sandra Dulier 

Un partenariat
Arts
 
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Lettres

 

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"Féerie matinale"

 

Une aquarelle d'Adyne Gohy

 

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 Inspirée par une poésie de Gil Def

 

"Et la lumière peint...encore"

 

 

Quand l'aube de chaque matin

Là s'en vient dans un encore

L'astre d'or poursuit les rêves

Se lève selon la saison

L'horizon change de lueurs

En couleurs en jaune en feu

Tout en bleu il peut l'orange

Mélange en transparence

Nuance le ciel la terre la mer

Les tons clairs estompe son trait

Disparaît la lune reste voile

Les étoiles se perdent dans l'espace

S'effacent le temps suit son cours

Chaque jour offre toujours nouveau

Un beau tableau comment ne pas y voir

L'espoir ou croire la beauté divine

Qui illumine cet encore en poésie

Et en vie...Une larme vient au bord des yeux

C'est merveilleux quand éclate la lumière

 

de Gil Def

 

Un partenariat
Arts
 
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Lettres

 

 

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Inspirée d'une poésie de Claudine Quertinmont

Amour Rose d'automne

 

Une aquarelle d'Adyne Gohy

 

 

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Amour Rose d'automne

de Claudine Quertinmont

 

Il était une rose transie d'un frêle amour,

Pour un papillon bleu, aux ailes si douces

Qui lui rendait visite, lui faisait des mamours,

Il était une rose transie d'un frêle amour,

Son parfum voletait de pétale en frimousse,

Des boutons ravissants de ses jeunes pousses.

Il était une rose transie d'un frêle amour,

Pour un papillon bleu, aux ailes si douces.

 

Peu à peu l'été s'endormit et son coeur se givra,

Embrasant les feuilles, les incendiant de feu,

Couvrant la nature de robe d'apparat.

Peu à peu l'été s'endormit et son coeur se givra,

Rose et doux papillon se firent de longs adieux,

Le coeur las et brisé, des perles pleins les yeux.

Peu à peu l'été s'endormit et son coeur se givra,

Embrasant les feuilles, les incendiant de feu.

 

 

 

 

 

 

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Fabienne sur scène

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Une aquarelle d'Adyne Gohy

Inspirée par une poésie en musique de Fabienne Coppens

Voici un résumé du spectacle de Fabienne

à La Samaritaine en 2012

 

Eugénie

Personne ne l'attend

Elle rêve pourtant

Que quelqu'un l'attend...

Pour rentrer chez elle

Elle s'invente des ailes

Elle voit sa vie en grand

Dans les journaux du vent

Se répète les mots

"Amour et braséro"

Un ange, à ses côtés

L'empêche de tituber

...Une présence née

  De son solo salé

            Alors, Eugénie appelle son génie pour alléger sa vie Eugénie...          

                                                                 

Par les lignes de ses mains

Elle sait que quelqu'un vient

Elle parie juste un peu

Avec son coeur en deux

Qu'elle trouvera le feu

Qui brûlera ses maux

Ses fards (phares) et ses bobos

Fini de garder pour elle

Ses joies et ses querelles

Quand on est seul tout le temps

Il en faut du talent

Pour s'offrir du bon temps

Et loué de l'allant...

Alors Eugénie appelle son génie pour alléger sa vie

Elle n'est pas vraiment elle

Avec personne à elle

Y'a des bouts de sa vie

Qui manquent de folie...

Personne ne l'attend

Elle rêve

pourtant

Fabienne Coppens

Un partenariat

Arts

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Lettres

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"Juste un bol d'air"

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Une aquarelle d'Adyne Gohy

"La jeune fille et la mer"

 

Sur la plage est apparue cette jeune fille

Là où il ne revient que du temps sur l'envers

C'est le mien qui la voit comme une image floue...

C'est le sien puisqu'elle est seule comme un chagrin

La mer ne me garde vraiment rien au grand large

Elle est sans rémission la vague qui échoue

Mes rêves me restent comme vaisseaux fantômes

Et je me demande qui est la jeune fille

Le temps est si étrange et quelque part éteint

La jeune fille est si loin quand elle est près de moi

Tout nous sépare comme deux bouts d'un voyage

Par l'impossible inversion des grands sabliers

Me voilà donc témoin de ce qui fait mémoire

Du tout premier chagrin et coeur à marée basse

A ces autres marées basses mais coeur expert

Des marées hautes, des grandes vagues d'amour

Je suppose un prénom à cette jeune fille

Que j'aurais pu prononcer avec insistance

Avec constance aussi mais le comprendrait-elle

Si je lui disais comme j'ai pu le garder

Qui est-elle? Tant d'images se superposent

Sur ce tableau de la jeune fille à la mer

On ne peut le peindre que de la ressource

Des sentiments qu'on rend à l'intemporel

La jeune fille est à moi réelle, irréelle

Elle est là, elle ne l'est pas, mais je l'admire

Dans un fort intérieur comme endroit secret

A tout ce qui me fait l'émotion qui déborde

Lui ferais-je confidence de ce qu'elle m'inspire

Elle qui rapporte ma jeunesse et ce que je suis

Comme bord de mer depuis le premier amour

Qui me ferait dire l'amour ne s'oublie jamais

Lui dirais-je que j'ai pu la prendre pour fille

Pour me consoler du doux semblant d'un mensonge

Pour lui servir d'appui quand je ne le peux pas

Pour ma fille qui me laisse sans le nom de père

Lui dirais-je que le temps n'arrange pas tout

Il est des amours qui nous restent impossibles

Mais rien ne sert de forcer l'imaginaire

S'il n'est pas de vie modèle, tout peut arriver

Sur la plage à disparu la jeune fille

Mais j'ai gardé une étoile de mer

par Gil Def

Un partenariat

Arts

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Lettres

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Dans La Forêt de La Géronstère

 

 

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La Géronstère est une source ferrugineuse

à Spa

 

Autour de Spa, dans le massif ardennais, émergent une dizaine de pouhons (en wallon le verbe pouhi signifie "puiser") qui sont autant

de sources d'eau carbo-gazeuse à la teneur en fer élevée qui donne une

odeur d'oeuf pourri.

Barisart, Géronstère, Sauvenière, Tonnelet et au centre de la ville, les pouhons Pierre-le-Grand, Armes d'Autriche et Prince de Condé forment

un circuit de sources, prisées autrefois par les curistes.

A cela s'ajoute des pouhons plus lointain comme ceux

de Trois-Ponts et de Grandménil.

Il s'agit d'eau ferrugineuse garantie potable, contrôlée régulièrement

par l'Institut Henrijean (Spa Monopol).

Cette eau a effectué un parcours de 50 ans dans le sous-sol ardennais.

Qualifiées de "miraculeuses" à l'époque et prisées par des personnalités connues comme le tsar Pierre-le-Grand, ces eaux permettent de pallier les carences en fer.

 

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La source de La Géronstère

 

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Le Château de Lavaux-Sainte-Anne

 

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Un ouvrage militaire devenu demeure historique et refuge naturel.

Musée de la Vie des Seigneurs au 17ème et au 18ème siècle.

Musée de la Nature famennoise.

Musée de la Vie rurale en Famenne au 19ème et au début du 20ème siècle.

 

Pour visiter

 

 

Le Festival d'Art Contemporain Edition 2013

 

Deux amis d'Arts et Lettres y exposent

 

Andrée Hiar

 

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Torsade et Goutte d'eau

 

 

Marc-André Metais

 

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En fin de journée avec mon amie nous nous sommes installées dans la zone écologique

pour peindre ce magnifique cadre qui avec le soleil du soir était éclairé d'une façon magique.

 

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Mon aquarelle

 

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Adyne Gohy

 

 

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"Au Soleil"

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Aquarelle d'Adyne Gohy

Les  Créoles "

Sous les cieux d'Afrique, les filles étaient belles,

Les cheveux dans le vent, le regard caressant,

Et les rayons ardents d'un soleil étonnant

Tissaient en ombre d'or leurs silhouettes frêles.

Leurs yeux simples et purs, prunelles mordorées,

Dessous les cils soyeux lançaient mille lueurs,

Les joues couleur miel ressemblaient à des fleurs,

Toutes auréolées de soie sombre ou nacrée.

Libres étaient les corps, libres étaient les âmes,

Un printemps éternel les rendait moins cruelles

Et charmeur promettait des amours immortelles,

Quand ricanait la mort sous un soleil en flammes.

Ici le ciel est triste et tristes les visages,

Pas un seul rayon d'or pour éclairer nos nuits,

Et la trame des vies s'étire dans l'ennui,

En rêvant de trésors, en rêvant de voyages.

Poème de Rolande Quivron

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Une jeune touriste attentive

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Aquarelle d'Adyne Gohy

Une petite touriste

Elle est là...

Etonnée, subjuguée,

Par tant de beauté.

Cette visite elle n'en voulait pas !

La plage et ses joies

De sa journée, elle voulait en faire ses ébats !

Elle est là...

Obéissante obligée,

A suivre sa parenté !

D'un air bougon,

Les pieds de plomb,

Son enfance elle la voulait joyeuse,

Pas à visiter le passé si ennuyeux !

Pourtant...

Elle est là !

Les yeux rivés, sur tant de beauté !

La bouche ouverte,

Muette !

Cette journée qu'elle pensait ratée,

Par tant de beauté se trouve éclairée !

Elle est là...

Mais le regret pas !

Par Fabienne Vereecken

Les partenariats

Arts12272797098?profile=originalLettres

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" Orchidée " aquarelle d'Adyne Gohy

 

Prélude

 

Orchidée papillon,

Fleur de passion,

Tes ailes graciles,

Calmes et indociles

Légères se lissent.

Tes couleurs ravissent

Mon cœur délicat

Couleur grenat,

Ourlées au Jardin d’Eden

Par une nature magicienne,

Tes symphonies enchantent

De courbures lentes

Nos séjours tempérés.

Hampe sacrée,

Lumière tropicale,

Feu de vestale,

Ta sensualité colore

Nos hivers inodores.

Sous ton regard, j’entends

Un violon envoûtant.

Notes et parfums…

Musicalité d’un matin.

 

Sandra Dulier

 Un partenariat

Arts 
12272797098?profile=originalLettres

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Ecorces de vie


Lande sablonneuse de mon cœur,
Une petite fille en manteau rouge
Ramasse des pommes de pin.


Lande sablonneuse de mon cœur,
Du fond de l'enfance douce,
Une aquarelle et un souvenir se peint.


Lande sablonneuse de mon cœur,
Je revois, roses aux joues,
La silhouette d'un être éteint.


Lande sablonneuse de mon cœur,
Sous tes dunes de velours,
Quelques graines germent ce matin.


Lande sablonneuse de mon cœur,
Tes racines s'ébrouent
Et un bonheur m'étreint.


Lande sablonneuse de mon cœur,
D'autres pas courent,
Sentier et trésor pour demain.

Sandra Dulier 

Dans le domaine de Lagland

Dans le Domaine de Lagland

Adyne Gohy

Aquarelle 75/50

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