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Vient de paraître: L’enfant terrible de la littérature Autobiographies d'enfants cachés

Composé par Adolphe Nysenholc

Collection Mosaïque chez Didier Devillez-Éditeur-Institut d'Études du Judaïsme
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Etudes
Des écrivains qui ont subi la Shoah, enfants, ont gardé longtemps le silence.
Le présent livre montre comment ces révoltés silencieux bousculent souvent les codes de la littérature dans leurs autobiographies, comme Perec en France, Raymond Federman aux Etats-Unis, Appelfeld en Israël.
Traqués, cachés aux quatre coins de l’Europe, les jeunes, qu’on a toujours cru chanceux d’avoir échappé à l’horreur de la déportation,  révèlent, en faisant œuvre de mémoire et dans les langues les plus diverses, une souffrance spécifique, farouche.

 

On verra mieux comment, malgré la pudeur derrière laquelle ils continuent à se cacher,  les auteurs arrivent, par leur art du récit, à faire passer le vécu indicible de la période où l’on a voulu leur mort.
Des chercheurs qualifiés de France, d’Allemagne, des Etats-Unis, de Belgique, offrant ici sur eux des études passionnantes, prospectent en pionniers un champ littéraire nouveau dans l’espace de l’autofiction.

 
Table des Matières  

Introduction
     Adolphe Nysenholc  :  Le silence                                       
 

 

Etudes de cas
1975    W ou le souvenir d’enfance  de Georges Perec
    Claude Burgelin   « Rester caché, être découvert »        
1978     Quand vient le souvenir de Saul Friedländer
     Nathalie Zajde   « L'enfant qui meurt et qui renaît »                       
1979    The Voice in the closet de Raymond Federman
    Judith Nysenholc « Enfant caché, en traduction »                                      
1988    Touch Wood !
     Renée Roth-Hano  « La vie continue »                                               
1993    J'existe, je me suis rencontré de Gotlib
     Marion Feldman « Entre exposition et protection »                    
1999    Histoire d’une vie et autres romans d’Aharon Appelfeld    
     Myriam Ruszniewski-Dahan « Comment écrire le sens perdu ? »
1999  La Traversée des fleuves de Georges-Arthur Goldschmidt
     Alfred Strasser « Un enfant caché venu d’Allemagne »                  
2003    Le Caillou de lune d’Ettel Hannah
     Yvette Marin « L'enfant juif caché et la découverte de soi »                   
2007     Bubelè l’enfant à l’ombre
     Adolphe Nysenholc   « Ecrire : vrai ou faux ? »            
Documents
     Renée Fainas Werhmann, « Souvenir de Perec enfant »
     Thomas Gergely 1951. Un enfant de six ans écrit sa guerre dans son cahier
Etudes transversales
     Adolphe Nysenholc « Enfants marranes et récits romancés »           
     Aurélia Kalisky « Quand tremblent les pactes. Poétique(s) de l’enfance traquée »                                                        
Signatures                                                                 
Bibliographie              
Table des matières                            
 
320 p.      25 €
ISBN : 978-2-87396-131-2

Peut-être commandé en librairie
ou à l’Institut d’Etudes du Judaïsme, 17 avenue F.D. Roosevelt, 1050 Bruxelles, tél. 00 32 2 650.33.48, n°compte : BE29 3101 5185 1364

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Commentaires

  • Ce livre sera présenté à la Librairie Quartiers Latins

    Samedi 15 octobre 2011 à 15 h 

    L’enfant terrible de la littérature. Autobiographies d’enfants cachés 
    Avec Adolphe Nysenholc, professeur, écrivain et spécialiste de l’œuvre de Charles Chaplin 
    et Myriam Ruszniewski-Dahan, professeur et écrivain 

    Des écrivains qui ont subi la Shoah, enfants, ont gardé longtemps le silence. Ce livre montre comment ces révoltés silencieux bousculent souvent les codes de la littérature dans leurs autobiographies, comme Pérec en France, Raymond Federman aux États-Unis, Appelfeld en Israël. Traqués, cachés aux quatre coins de l’Europe, les jeunes qu’on a toujours cru chanceux d’avoir échappé à l’horreur de la déportation, révèlent, en faisant œuvre de mémoire et dans les langues les plus diverses, une souffrance spécifique, farouche. On verra mieux comment, malgré la pudeur derrière laquelle ils continuent à se cacher, les auteurs arrivent, par leur art du récit, à faire passer le vécu indicible de la période où l’on a voulu leur mort. 

    Composé par Adolphe Nysenholc, cet ouvrage collectif offre des études de chercheurs qualifiés de France, d’Allemagne, des États-Unis, de Belgique. Ceux-ci prospectent en pionniers ce champ littéraire nouveau dans l’espace de l’autofiction.

    Myriam Ruszniewski-Dahan, auteur de Romanciers de la Shoah publié chez l’Harmattan, apporte une contribution consacrée à l’œuvre d’Aharon Appelfeld, Histoire d’une vie et autres romans, sous le titre Comment écrire le sens perdu? 

    L’enfant terrible de la littérature est édité par Didier Devillez. 


    ________________________________________
    Librairie Quartiers Latins,
    place des Martyrs, 14,
    1000 Bruxelles
    www.cfc-editions.be

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