Au détour d'une rue où les vallons s'invitent
C'est une maison blanche qui s'accroche à une butte...
Entre nous, règne en maître une sorte d'accord tacite
Elle m'offre le refuge, me protège des culbutes!
C'est bien plus qu'une maison, c'est un havre de vie
C'est une épine dorsale sur laquelle je m'appuie...
Une rampe de fer aux volutes qui dansent
Quelques marches de pierre qui mènent à sa porte
Quand j'en franchis le seuil, je savoure ma chance
C'est un sourire qui perle et la joie que j'importe!
C'est bien plus qu'un maison, c'est un havre de vie
C'est une épine dorsale sur laquelle je m'appuie...
J.G.
Commentaires
Très joli poème! On n'est jamais si bien que chez soi, quelle que soit la maison, grande ou petite, c'est notre nid! Amitiés
Mireille
Très joli poème Jacqueline qui donne à savourer le bonheur de sa maison, simple mais si riche au fond.Bonne journée, amitiés, gilbert.
MERCI chers ami(es) d'A et L pour votre visite, vos commentaires... ravie de vous trouver toujours présents en ce début d'année, un peu de soleil dans la grisaille... A bientôt
Jacqueline
Un ressenti bien joliment exprimé, quant à la quiétude bienvenue de son "chez-soi " ! Merci de ton partage, Jacqueline ! Cordialement, Nicole
Un havre de paix, tout le monde en a besoin. Même si celui-ci est un modeste lieu, c'est une chance de posséder
un endroit où l'on se sent bien.
Merci pour ce partage et meilleurs voeux pour 2016.
La chaleur de l'accueil en prime!
Merci, bonne journée.
Adyne
Et elle est accueillante, joliment décorée de telles belles peintures, Jacqueline.
Un havre de paix.
Une maison heureuse.