Le pays est brisé, montagnes et fleuves pourtant demeurent
La capitale au printemps, herbes et arbres s'épanouissent
Serait-elles émues par les temps ? des fleurs tombent des larmes
Seraient-ils peinés par la séparation ? Les oiseaux ont le coeur qui sursaute
Les feux de la guerre depuis trois mois ne s'interrompent
Une lettre de la famille vaut dix mille onces d'or
Je gratte ma tête blanche, cheveux de plus en plus rares
Impossible désormais de les épingler
Poème tiré de l'album : TU FU Dieux et diables pleurent, Ed Moundarren.
Dessin han 8e siècle
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