Envol. Nos pieds ne touchent plus terre.
Nous sommes oiseaux pour quelques temps.
Voici tout en bas
les routes et les champs parfaitement découpés.
Merveilleux chemin que celui des airs.
Au retour, la marche sur les chemins nous recueillera.
Marche, observe et ressens
tout ce qui t’environne.
Rayonnante, chaque heure t’apparaît
à nouveau comme inépuisable.
Cherchant à parcourir d’autres sentiers,
préparant le prochain itinéraire sur quelques cartes.
D’emblée cette profondeur donne corps à nos journées.
Julien Boulier le 25 mars 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3436237011
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