Un rosier blanc,
à l’orée d’un étang,
Une allée verte,
je m’y étends ;
un ange bleu,
sur moi se pose,
inanimé et grand ;
est-ce là votre pensée,
qui dans mon âme tourbillonne,
et dans mes yeux émus,
persévère à fleurir ?
l’immortelle !
effluves blanches,
vous m’entêtez un peu,
mais le chant mesuré de l’étang,
rend tout joyeux mon corps,
et mon esprit fécond,
plus vivant.
Commentaires
Marcelle, je vous remercie beaucoup ; quel plaisir pour moi également de vous lire à nouveau. Je vous souhaite une très belle soirée. NINA
Bien amicalement.
Chère Nina,
Quel plaisir de vous retrouver grâce à ce joli poème et cette rose dans sa gloire immaculée. Bel antidote à l'hiver qui est à nos portes.
Amitiés