Aussi je dirais que ton âme parcourt les sentiers sauvages.
Colères et tempêtes d’hiver, lourd soleil d’été.
Tu franchis les heures parvenues.
Vois cette clarté qui habille tes rêves.
C’est ta vie qui enveloppe de fougères
l’agitation et le tumulte des grandes villes
jusqu’à ce qu’en marchant,
tu découvres, transpercé de lumière,
les rivages à jamais en suspens.
Puisses-tu devenir immuable en t’éveillant chaque jour,
semblable à la brume qui se déchire,
laissant apparaître les paysages scintillants
à travers tes yeux et ton regard. »
Julien Boulier, à Lorient
poème déposé Sacem code oeuvre 3439653711
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