Tu me diras combien les chênes,
combien les chants anciens,
ont compté pour toi.
Nous qui sommes les enfants des campagnes,
les lueurs de la ville.
Dans ce paysage, la très lente mélodie,
de sa gorge déployée,
fait chanter le piano.
La nuit dans le poing, le jour dans la main.
Tes yeux en mouvement secouent les branches des arbres
au-dessus de la statue.
Sa silhouette dessine tes rêves au-dessus de la fontaine.
Tant de chemins à parcourir encore.
Julien Boulier
poème déposé Sacem code oeuvre 3439778711
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