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Un pièce éblouissante de Fabrice Melquiot: Les Tournesols
Publié(e) par Deashelle le 7 octobre 2024 à 6:11
Poème sur la mort, prière amérindienne magnifique, à lire si vous vous sentez mal suite à la perte d'un être cher.
Publié(e) par Dominique Prime le 15 juillet 2012 à 10:27
De l’art d’être malheureux dans « Capitale de la douleur »
Publié(e) par Robert Paul le 25 août 2012 à 11:30
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Commentaires
Il n'est pas étonnant que Robert Paul n'ait pu résister à remettre en vedette ce mur. Il est fascinant.
Je ne m'en lasse pas.
apprenant par la presse que l'autre mur, celui de 124 kilomètres, subit quelques assauts, je me permet de remettre celui de vos talents en avant...
Devant toutes ces oeuvre de talent et d'originlité je suis admirative. Et l'admiration est une sensation ou état d'esprit agréable à vivre.
à la manière de Maryline, je sussure: Hey, mister president:
where is your wall?
Hey Donald, que devien ton mur?
Le mien est ici
j'ajoute "La barque aux esprits" de Claude Hardenne à mon mur
Toujours autant de plaisir à regarder toutes ces oeuvres. Merci Monsieur Paul et merci à tous les
artistes de ce "mur". Belle journée à tous
« C’était écrit » qu’à l’«hiver » où la langue de Mick Jagger déguste la pomme découpée des Beatles sous le chant du « rouge-gorge » naîtra enfin « le bonheur » avec la venue de « Louise Paule » aux joues rosis et « toutes fraîches », qui plus tard deviendra « la danseuse étoile » de l’opéra. On l’appellera eu égard à sa « Candeur infantile » un « amour de chouette » « la petite fille de Martha » ou plutôt « La Dame Tatouée aux Chats » qui lui a donné le sein de « la connaissance" sur « le banc du temps qui passe ». Et à y admirer une toile après l’autre d’« un certain regard », on s’aperçoit que nous somme dans un puzzle où chaque tableau est porteur des « couleurs d’automne » qu’il faudrait interpréter pour éluder « l’énigme de la roselière ». Mais ça, seul « l’artiste » a le talent d’esquisser sa toile au « Crépuscule sur la place Emile Goudeau à Montmartre » qu’il nuancera d'«un carré de soie » mais aussi de la « beauté en transhumance » où l’on verra « l’homme et l’oiseau » voler à tire d’ailes vers « le paradis perdu » et au-dessus d’une « mer et furie ». Y assisterions-nous à « l’arrivée au paradis » de « l’image » fleurant bon la « coloquinte et rose » ? Peut-être bien que oui ! Et pour y concrétiser ce rêve, le mieux est de prier pour la fin de la « mi-temps » de la pandémie du Covid 19 où l’on verra « ces demoiselles likeuses » tombées en admiration devant l’adonis qui est ce « Plongeur en eau vive ». Merci Monsieur Robert Paul pour l'invitation à cette exposition. Alger, Louhal Nourreddine, le 29 avril 2020.
Cher Monsieur Paul,
Merci de votre partage ! Que de merveilles ! Belle journée à vous et...prenez bien soin de vous ! Cordialement, Nicole
Comment résister à toutes ces tentations artistiques ? Merci, pour ce partage