Qui se soucie
des courbatures du jour
glissant dans la somnolence
comme l’eau traînante
d’un fleuve
qui se soucie
de l’onde obscure
de la nuit
puisque chaque soir
l’on pense
à une nouvelle aube
grise et douce
Martine Rouhart
Qui se soucie
des courbatures du jour
glissant dans la somnolence
comme l’eau traînante
d’un fleuve
qui se soucie
de l’onde obscure
de la nuit
puisque chaque soir
l’on pense
à une nouvelle aube
grise et douce
Martine Rouhart
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Commentaires
merci Serge, amitiés
Merci Liliane et Jacqueline, amities
Merci Monsieur Paul, très bonne fin de dimanche à vous