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Dans l'air brumeux de l'horreur, dans le ciel au sombre décor

J'ai fait voler ton nom si haut comme je l'ai rêvé si fort

Je t'ai, je crois, frôlé du doigt sans jamais vraiment te toucher

Il me faudra du temps je crois pour un jour jamais t'embrasser

Tu sais j'ai cru t'entendre rire, j'en garde moins le souvenir

Je me rappelle c'était hier ou quelque part dans ma mémoire

J'ai tenté de fermer les yeux, j'ai attendu et puis j'ai vu

Je t'ai connu, je t'ai connu

Je ne suis plus qu'une ville en cendres, sous mes murailles gisent les méandres

De quelques vagues, reste de toi

De quelques bouts de vie, tu vois, non, jamais je ne t'ai oublié

Je t'ai gardé, je t'ai gardé, je crierai ton nom jusqu'au ciel

Jusqu'au creux de ma citadelle

Pour toi je resterai debout, mon tendre espoir comme j'ose y croire

Et je te chanterai

Jusqu'au dernier soupir, jusqu'au dernier rempart, jusqu'au dernier regard

Dans le feu, dans le fer je brandirai ton nom

Dans la folie guerrière je porterai ton blason

Même tendre espoir quand vient le soir

Tu t'évanouis, tu fuis, tu fuis

Oh, mais je te garde c'est promis, même au très fond de longues nuits

Et quand vient l'aurore se pose ton souffle sur mes ecchymoses

Tu viens les guérir en silence, ton souvenir seul les panse

Je ne suis plus qu'une ville en cendres, sous mes murailles gisent les méandres

De quelques vagues, reste de toi

De quelques bouts de vie, tu vois, non, jamais je ne t'ai oublié

Je t'ai gardé, je t'ai gardé, je crierai ton nom jusqu'au ciel

Jusqu'au creux de ma citadelle

Je ne suis plus qu'une ville en cendres, sous mes murailles gisent les méandres

De quelques vagues reste de toi

De quelques bouts de vie, tu vois, non, jamais je ne t'ai oublié

Je t'ai gardé, je t'ai gardé, je crierai ton nom jusqu'au ciel

Jusqu'à la dernière étincelle

Source : LyricFind

Paroliers : Anne Coste / Jacinthe Madelin

Paroles de Le cri d'Alep © Universal Music Publishing Group

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Commentaires

  • Ces paroles sont celles de la ville martyre qui s'adresse et évoque son "Tendfe espoir".

    L'espoir étant une des trois vertus théologales, j'ajouterai ici le fameux et prodigieux texte de Charles Péguy, qui traitait de *La petite espérance"

  • Alep la martyre

    « Cela peut paraître étrange, mais il nous faut apprendre à vivre dans un pays en paix comme il nous avait fallu apprendre à vivre dans un pays en guerre, » (Je viens d'Alep : Itinéraire d'un réfugié ordinaire) de Joude Jassouma. « Est-ce comme cela qu'on récompense cette si belle et merveilleuse ville de tolérance, une des plus anciennes du monde, et qui a tant donné à la Syrie et même au Liban, ainsi qu'à la civilisation ? » Extrait de l’article de presse publié le 28 mai 2016 dans L’Orient-Le jour et  intitulé : « Alep la martyre » d’Élit Michel Nasard.7198867068?profile=RESIZE_710x

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