Le vent tourne les pages
Le livre s’écrit
Page à page
Au bel enfant qui sourit.
Le voilà qui s’affaire
Sait son affaire
Feuille à feuille
Plonge la nuit dans son deuil.
Les toits au loin gémissent
Les branches plient
Toits de bâtisses
Ont peur du vent et prient.
Vent de la mer qui souffle
Vent des vieux oublis
De livres écrits
Que nul jamais n’essouffle.
Puis quand le vent s’apaise
Le printemps revit
D’aise en aise
Revient la vie qui s’emplit.
Commentaires
Une poésie sensible, qui laisse l'imaginaire s'envoler ... Merci de ce partage, Gilbert ! J'ai apprécié ce moment que je qualifie de "musical " par son rythme . Cordialement, Nicole
Je commente avec mes mots...
Très joli poème, Gilbert.
De belles idées au fil de la lecture de ce poème.
Bravo et merci Gilbert pour ce partage
Amitiés.
Adyne