De la vielle termitière…celle de ma terre,
Elle-même qui domine ma pensée, celle…
Des hirondelles qui retournent aux bercail,
Je n’eus rien recueilli des rizières en pleurs….
Sur la plaine en gaieté, s’installe les pardons,
Des clins d’œil d’amoureuses aux mains nues,
aux reins ardus, profonds comme les nuits de souffrances
que portent ces plis sur leur visage, celui des champêtres
Tape logbo Firmin
Commentaires
Une grande nostalgie dans ce texte qui chante les origines et la terre natales et qui met en valeur l'endurance des femmes aimantes et patientes. Belle plume que j'adore lire et relire.