La main un outil pédagogique
Bergson et les philosophes grecs antiques .....
Je dirais que c'est un sujet inépuisable à creuser ... car même si nous tapotons
nous. adultes, notre apprentissage en pleins et déliés nous a ouverts
l'essentiel des potentialités dont nous usons librement maintenant ou non.
http://www.lexpress.to/archives/5958/
Il ne faudrait pas croire que la machine fait tout et que le numérique est la panacée universelle. Dans toute bonne pédagogie de l’apprentissage des basses fondamentales dont a besoin tout apprenant, la main doit trouver sa place. Si elle ne la trouve pas, des troubles d’apprentissage risquent de survenir.
L’exemple type est celui du langage qui se déroule linéairement. Pour lire, il faut donc décoder un système selon un processus linéaire allant de gauche à droite (langues européennes), avec retour «à vide» vers la gauche, changement de hauteur c’est-à-dire orientation vers le bas, pour passer d’une ligne à l’autre.
Au cours de cette opération, toutes les lettres, tous les mots doivent être traités de gauche à droite. Autrement dit, le sens directionnel général, gauche à droite commande la perception globale du texte (sens des lignes) et la lecture détaillée des composantes (mots et lettres), auquel s’ajoute un mouvement haut en bas.
Orientation spatiale
Tout ceci suppose une parfaite adaptation à des orientations spatiales précises, sous peine d’erreurs ou de difficultés de lecture. L’acquisition de la gymnastique spatiale nécessaire est à la base de la lecture qui comprend donc plus que le décodage de lettres.
D’où l’intérêt d’activités comme la représentation spatiale de la forme des lettres avec les doigts, et de l’écriture manuelle, qui ajoute à ces dimensions linéaire et spatiale la commande de mouvements manuels.
Écrire, c’est traduire le langage selon un code spatial comportant à la fois des mouvements de gauche à droite, avec retour à gauche vers la zone de départ pour la direction générale de l’écriture, et des mouvements plus fins de gauche à droite, de droite à gauche, de haut en bas, de bas en haut, circulaires ou semi-circulaires, pour la réalisation graphique des lettres.
L’encodage écrit nécessite une adaptation de la main qui écrit au découpage spatial conventionnel et ceci, que l’on écrive de la main droite ou de la main gauche, et une coordination complète de la main elle-même et de sa contre-main, c’est-à-dire du pouce.
L’écriture manuelle…
Des études présentées au colloque «L’écriture dans tous ses états» de l’Université d’Aix-en-Provence, en France, sont très intéressantes. Dans L’apport cognitif de la main: clavier ou écriture manuelle?, les auteures se demandent si le «délaissement de la main – au profit de la machine – risque d’entraîner des pertes de compétences».
Il ressort de leur étude que «sur l’ensemble des sujets, le nombre de fautes commises en écriture manuelle est significativement inférieur à celui constaté en mode clavier…
Si la main se révèle supérieure au clavier en ce qui concerne les fautes de français, l’expérience présentée ne permet pas de décider quel est le facteur explicatif: acquisition manuelle de l’écriture ou ressources attentionnelles plus marquées en manuel.»
L’explication vient peut-être d’une autre étude: La Main écrit sur le Papier et … sur le Cerveau. Voici la conclusion: «L’acte même d’écrire est une source d’informations à caractère cognitif susceptible d’intervenir, comme les informations visuelles et auditives, dans la spécification symbolique des caractères écrits et par là dans les apprentissages linguistiques.»
…favorise la lecture
Autrement dit, le geste moteur de l’écriture transmet au cerveau une information sur la forme des lettres et leur enchaînement, en écrivant des mots, des phrases. Le geste sensoriel est donc porteur d’informations cognitives qui se répercutent sur la lecture.
«Nos études, disent les auteures, soulignent l’existence de liens fonctionnels étroits entre écriture et lecture… ils suggèrent que notre façon d’écrire pourrait influer sur notre façon de lire.» Un autre exemple: encourager les petits à compter sur leurs doigts ne serait pas une mauvaise idée, bien au contraire.
Des travaux récents démontrent que la représentation de la grandeur des nombres stimule les neurones du lobe pariétal, qui est aussi associé à la représentation des objets dans l’espace. Main, cerveau et apprentissage sont étroitement reliés.
La main et le toucher
La main joue donc un rôle capital en pédagogie fondamentale. La célèbre formule de G. Révész: «Votre destin est vraiment entre vos mains, ou mieux en ce que vos mains créent ou font» (The Human Hand), même à partir d’un simple crayon, ne peut que faire réfléchir et porter à la main une attention toute pédagogique, de la part des parents, des enseignants, des intellectuels et des décideurs.
Pour compléter ces propos et les élargir, on prendra connaissance avec intérêt de: Gentaz, Édouard. La main, le cerveau et le toucher, Dunod, 172 p. L’auteur traite spécialement du toucher, un sens méconnu et si important pour le bébé, l’enfant, l’adulte voyant et non-voyant. «Les outils de l’activité virtuelle favorisent-ils l’apprentissage de l’écriture?» montre le rôle du toucher dans ce processus.
Un livre pour les parents et futurs parents, pour comprendre leur bébé, les enseignants, les étudiants universitaires en psychologie et en pédagogie, rédigé de façon claire, bien illustré, d’actualité.
(Le sens du TOUCHER n'est pas méconnu du tout chez R:Steiner dans son concept des "12 sens"
Pour ma part, je me base souvent sur le livre du Dr Albert Soesman chez Triades
"LES DOUZE SENS"
Le moi d'autrui, Le mouvement. Le langage. L'équilibre. La chaleur. LE TOUCHER. La pensée. L'odorat. Le goût. La vue. L'ouïe. La vie.
Nous disons Sens de ...
Le rôle de la main :
un outil pédagogique. Publié le 20 avril 2012
La main, outil pédagogique?
Gabriel RACLE, chercheur canadien explique que l’INTELLIGENCE part de la main et remonte vers le cerveau.
Ensuite
Les articles trouvés sur ce même thème :
http://www.calea-asso.org/la-main-outil-pedagogique/role-de-la-main/
Prendre pour comprendre
Nous avons, avec Gabriel Racle, la possibilité d’avoir un aperçu actuel de la question. En résumé, le rôle de la main, dans ce passage du prendre au comprendre et du comprendre à l’apprendre, n’est pas purement matériel, purement mécanique, ni bien évidemment purement abstrait ou intellectuel : tous ces aspects sont conjugués dans cette activité typiquement humaine. Prendre en main, ce n’est finalement pas autre chose que ce type même d’activité qui combine le prendre, le comprendre, l’apprendre et finalement l’entreprendre. C’est précisément l’acte humain de la main : le geste de prendre en main est plus fondamental que l’acte de la main qui prend. La main partout se trouve en cause, pour reprendre l’expression d’Ernts Kapp. D’autant que par ce moyen, l’homme arrive finalement à se prendre en main. La main est ce qui fait l’homme.
Com-prendre
Com-prendre, c’est d’abord, comme l’indique l’étymologie, prendre avec : prendre avec la main, avec un outil, avec un instrument, prendre de multiples façons et par là-même, découvrir en agissant. La main, bien orientée, est donc plus qu’un instrument de développement matériel ; elle est aussi l’instrument du développement intellectuel et de l’insertion sociale. Charles Féré a une belle formule:
la main est à la fois un agent et un interprète du développement de l’esprit.
Comme on l’a déjà souligné, on passe ainsi de prendre à comprendre, du concret à l’abstrait, ce qui permet alors d’apprendre. … l’enfant apprend aussi en élaborant des schémas mentaux, des règles, des lois, qui permettent de classer les objets dans des catégories d’ordre de plus en plus élevé, de transformer des objets réels en objets symboliques.
La boucle peut ensuite se refermer en repassant de l’abstrait au concret pour entreprendre quelque chose avec l’aide de la main et du cerveau, bien entendu. On a ainsi, en simplifié, un schéma pédagogique dans lequel la main doit trouver tout naturellement sa place. Si elle ne la trouve pas, pour des raisons diverses, des troubles d’apprentissage risquent bien de survenir.
Main et apprentissage
Ces considérations convergentes, dont on pourrait prolonger l’énumération, ont-elles quelque fondement ou quelque correspondance biologique ? Ne sont-elles que le fruit de réflexions pédagogico-philosophiques ? Après tout, on apprend avec un cerveau, on ne saurait l’oublier. À défaut de preuves formelles, certaines indications provenant des recherches des biologistes semblent bien apporter quelque soutien au rôle clé de la main dans l’apprentissage.
Une figure appelée homoncule (petit homme) traduit la répartition du corps dans le cortex somato-sensoriel, le cortex étant cette mince couche de neurones, la fameuse matière grise, qui se trouve à la surface du cerveau. Les parties du corps les plus actives et les plus sensibles ont une correspondance corticale proportionnellement supérieure à celles des autres zones corporelles. Comme on peut le voir, les mains tiennent une place très importante et dans la main, le pouce joue un rôle éminent.
Nous savons, par ailleurs, que les interactions entre une personne et son environnement jouent un rôle essentiel dans la structuration du langage et de la pensée. On pense que le cerveau traite le langage par le moyen d’interrelations entre trois systèmes ou ensembles de structures neuronales :
- Il y aurait tout d’abord les interactions non langagières entre le corps et son environnement. Ces interactions sont perçues par les divers systèmes sensoriels et moteurs des deux hémisphères cérébraux : ainsi se forge une représentation de tout ce qu’une personne fait ou ressent et, par exemple, de tout ce qui concerne les activités de ses mains. Ces représentations non linguistiques (forme, dureté, température, succession temporelle…) sont traitées par le cerveau qui les classe et sont transformées en représentation à un niveau supérieur qui gère les résultats de cette classification. S’ensuit un ordonnancement intellectuel des faits, des relations, des objets. Les niveaux successifs de catégories et de représentation symboliques produites par notre cerveau sont à la base de nos capacités d’abstraction et de métaphore.
- Le deuxième système comprend un ensemble plus petit de structures neuronales qui se trouvent le plus souvent dans l’hémisphère gauche, chez les droitiers et même chez les gauchers, et qui représente les phonèmes, leurs combinaisons, les associations des mots en phrases. Stimulés, ces systèmes produisent des phrases parlées ou écrites et traitent initialement les stimulations linguistiques reçues de l’extérieur.
- Le troisième ensemble de structures, qui se situe habituellement dans l’hémisphère gauche, coordonne les deux premiers ensembles. Il fait produire des mots à partir d’un concept ou un concept à partir des mots. Sur la base de cette schématisation, on peut se demander si un apport riche de la main dans le premier système ne contribue pas précisément à une structuration plus développée de la pensée ; autrement dit, en reprenant l’image de Bergson, s’il n’y aurait pas là un mécanisme qui fait remonter l’intelligence de la main à la tête.
La main joue donc un rôle capital en pédagogie fondamentale. Et il ne faut pas oublier que le toucher de la main est un acte d’appropriation à haute valeur psychologique et symbolique. La main qui prend vise à comprendre, la main qui touche vise à connaître.
L’art du toucher (l’haptonomie, de Frans Veldman) devient aussi un outil d’éducation émotionnelle. Mais parce que toucher c‘est vivre à la lisière de soi et de l’autre, comme le souligne Catherine Josse, l’acte de perception présuppose que le sujet ait pleinement conscience de son environnement. Développer le toucher, c’est aussi favoriser le développement du sujet et sa relation au monde.
Les relations entre la main et le cerveau de Gérard Gentaz, Florence Bara et Pascal Colé
Voici, une synthèse des travaux expérimentaux qui évaluent les effets de différents entraînements phonologiques associés ou non à l’apprentissage des lettres et des correspondances grapho-phonologiques, sur la lecture, et, d’autre part, de présenter une série de travaux récents qui s’intéressent à l’apport de l’exploration visuo-haptique et haptique (tactilo-kinesthésique) de lettres dans ces entraînements.
L’ensemble des résultats montre que les entraînements destinés à développer la conscience phonémique des enfants (définie comme la capacité à manipuler les phonèmes des mots parlés) améliorent significativement les performances en lecture. Même si ces entraînements ont indéniablement des effets positifs sur l’apprentissage de la lecture, leurs effets peuvent être amplifiés si on associe un travail sur la connaissance des lettres et des associations lettres-sons.
C’est lorsque que ces deux composantes sont réunies dans un entraînement (conscience phonémique et connaissance des lettres et des associations lettres-sons) que celui-ci est le plus efficace.
Enfin, des recherches récentes montrent que le mode d’exploration des lettres a un impact sur la compréhension du principe alphabétique. Ainsi, si l’enfant est amené à prendre connaissance des lettres par une exploration visuohaptique et haptique, les performances en décodage sont meilleures que si l’exploration se fait uniquement visuellement.
http://www.calea-asso.org/la-main-outil-pedagogique/
La main a fait l’homme ! La main nous permettrait-elle d’apprendre ? La main serait-elle capable d’être un formidable outil pédagogique ?
Cette question peut paraître étonnante voire absurde à l’heure où les recherches en didactique ou sciences de l’éducation… semblent répondre aux problèmes des apprentissages. Pourtant, ces problèmes tiennent peut-être pour une part à l’oubli, dès le plus jeune âge, d’un instrument pourtant essentiel et que nous avons tous à notre disposition : la main. Il n’est sans doute pas inutile de réfléchir sérieusement à cette question pédagogique, si l’on en juge par les propos suivants, dont il pourrait être judicieux de suivre les conseils.
On oublie (à l’école) que l’intelligence est essentiellement la faculté de manipuler la matière, qu’elle commença du moins ainsi, que telle était l’intention de la nature. Comment alors l’intelligence ne profiterait-elle pas de l’éducation de la main ? (…) Adressons-nous à un vrai maître, pour qu’il perfectionne le toucher de l’enfant au point d’en faire un tact : l’intelligence remontera de la main à la tête.
Ces quelques lignes, qui peuvent surprendre par l’association établie entre main et intelligence, ne sont pas de la main d’un pédagogue, mais bien de celle d’un philosophe. Et elles apparaissent dans un texte qui n’est pas précisément terre à terre, puisqu’il s’agit de La pensée et le mouvant, du philosophe français Henri Bergson.
On évoquera rapidement, dans un premier temps, quelques unes des théories qui sont apparues tout au long des siècles, depuis l’antiquité jusqu’à nos jours, sur cette possibilité selon laquelle l’intelligence passe par la manipulation, ou autrement dit, que la connaissance, l’apprentissage s’élaborent, avant tout, grâce à nos cinq sens et particulièrement grâce au toucher particulièrement les mains, ce qui sera le propos ici.
Par une sélection subjective (donc incomplète), on survolera donc les pensées de plusieurs auteurs qui se sont démarqués par leur pragmatisme en relation pour certains avec une application pédagogique concernant cette question. Des écrits antiques à Bergson en passant par Maria Montessori, Marcel Jousse, Leroy-Gourhan, Gabriel Racle… Le but est d’éclairer des problèmes théoriques se rapportant à l’incorporation de savoirs et de compétences en travaillant sur la question de l’articulation entre les modalités d’incorporation et les procédures cognitives d’apprentissage. On se basera aussi sur les travaux d’Edouard Gentaz, Florence Bara et Pascal Colé, qui on étudiés les effets des entraînements phonologiques et multisensoriels destinés à favoriser l’apprentissage de la lecture chez les jeunes enfants.
Selon Pierre Bourdieu, il y a une manière de comprendre avec le corps qui se situe en deçà de la conscience et sans avoir le mot pour le dire. On parlera donc d’infracognition, qu’on tentera de définir.
Nous essayerons de montrer comment cette infracognition, à partir d’adultes en situation d’analphabétisme peut donner des résultats probants sur une période relativement courte, alors que les moyens classiques n’ont donné que peu voire pas de résultats. La manipulation de la matière permettrait d’apprendre.
Pour finir cette recherche exhaustive .....
Voici toute une étude sous forme de livre :
avec la possible de faire jouer la glissière en haut pour augmenter la visibilité
http://www.yumpu.com/fr/document/view/5850778/de-la-main-lintelligence-ser
Commentaires
Oui bien sûr votre merveilleux poème Les mains de ma mère est assez éloquent
et c'est l'aspect plus docte de l'article qui vous a trompée.
Mais il n'avait pas tort de développer la profondeur du retentissement de l'importance de la main
faisant son apprentissage accompagnée de cœur, de courage et de mouvements intérieurs qui rendent vivant
notre humanité naissante d'enfant... la preuve ces valeurs ne sont plus ni considérées, ni comprises mais
menacées.
Merci d'être revenue témoigner.
Merci à Béatrice aussi.
Je viens de lire mon commentaire. Je ne comprends pas, car tout le monde peut avoir un avis sur ce sujet.
C'est la main qui a créé le premier outil, elle est le moyen d'exécution du projet prenant naissance dans le cerveau.. Elle ne cesse de reproduire ce que le cerveau commande tant techniquement qu'artistiquement..C'est elle qui traduit le sentiment : poignée de main, poing fermé,signe de croix, signe d'adieu,caresse...etc...Dire que j'ai écrit le poème "Les mains de ma mère" et que j'ai écrit en mars 2013, (un mauvais jour sans doute) ce commentaire stupide. Probablement parce que le texte philosophique me déplaisait au regard d'une situation si évidente dans la réalité : le rôle des mains.
Merci Carmen. Comme cela me touche et est grave pour le devenir de l'Humanité : l'aspect proprement humain de l'homme ! La main est sacrée et spirituelle. Elle ne peut devenir robotisée dès le plus jeune âge par l'apprentissage sur le clavier de l'écriture ! Lorsque l'on forme la ronde et la droite dans l'écriture, les mouvements variés avec la main ... c'est tout l'être qui accompagne et dessine, devient mobile et vivant intérieurement, procède avec son coeur et s'implique dans un mouvement intérieur.
Et lorsque cela est acquis l'être humain a progressé et grandi intérieurement et s'est humanisé, latéralisé, il a mis en mouvement sa motricité fine avec dextérité et activé des zone du cerveau pour penser plus finement.
C'est pourquoi je considère que jusqu'en Europe et suivant les 45 états des USA, c'est une véritable catastrophe, une misère pour les enfants et pour l'Homme que la Finlande suive cette mauvaise passe.
Elle qui a le meilleur rapport Pisa et une bonne pédagogie jusque là et laissait les enfants apprendre à lire et écrire justement pas trop en avance mais à leur rythme, ce qui les rendait quand même les plus brillants.
Maintenant je doute que formatés dès le plus jeune âge au clavier cela perdure.
Merci Liliane, c'était une remise à jour de mon article sur Lausanne Famille, site de notre région du fait que 45 états des USA avait voté l'apprentissage classique de l'écriture chez l'enfant facultatif ... et ce pour passer à l'apprentissage sur clavier des petits enfants. Ce qui est une grave atteinte aux facultés de base forgeant notre humanité.
Robert Paul avait aussi souligné cet alarmant fait de société que je qualifie pour ma part de robotisation de l'homme.
En ce temps de Pentecôte, j'ai la vision d'une scène significative du don de cet évènement représentée dans certaines églises romanes de Touraine par une fresque magnifique dont subsiste encore les belles couleurs vert amande, rose, ocre : Le Christ fait rayonner sur la tête des 12 apôtres sous Lui la lumière d'amour depuis le chakra de son coeur et ce rayonnement passe à travers ses mains, ses doigts pour toucher chaque disciple.
Judicieuses questions, pour nous les artistes qui créons avec nos mains...ce billet mérite mérite une lecture approfondie , j'y reviendrai rapidement.
Merci Rebecca !
Liliane toujours admirative de tous tes écrits.
Moi, j'aime bien vos avis habituels
surtout sous forme de nouvelles !
Merci d'être passée.
Très intéressant. Mais je ne suis pas à même de donner un avis en cette matière très spécialisée.
Amitioés.
Barbara