Votre ami s'en est allé sur ce long chemin bleu, en altitude ;
à l'ombre de votre cœur il flamboie, vous parle,
vous ensoleille :
La mort qui effraie, serait-elle cette existence invisible ?
Le parfum d'une fleur que l'on sent,
son pétale que l'on touche,
ce tout que l'on reçois, invisible pourtant, géant.
Cette vie là, invisible et légère,
s'enracine dans ce noir brutal,
qui s'attenue peu à peu,
jusqu'à devenir caressante clarté.
C'est là le plein Amour.
Bien à vous.
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