Comme un soupir sur la mer immense,
le vent brodait l’écume sur les flots, à l'aurore..
et voguait mon rêve chargé d'espérances,
vers l'ile de la tendresse,ce royaume de ses yeux..
Je la voyais ,belle aux pieds nus,
debout sur le sable,regardant l'immense étendue,
le ressac la caressant avec le murmure de ses eaux,
ta tête penchée,souriant au langage des flots..
(LES RIMES DU LAC)
Commentaires
Un peu..oui..L'homme et la nature..
Un peu de C. D Friedrich...